Arriver de Charles II d'Angleterre

Charles II qui était parti de Londres, il y a quelque jours arriva devant l'entré de Fontainebleau, Charles fut impressionner quand il vit l'entré du domaine mais il se dit que son château a Londres était mieux réaliser .Son carrosse était de couleur blanche et il avait un représentation de Saint-Georges. Une fois que le carrosse fut arrêter, il descendit et dit dans un français qui était parfait



"Annoncer que Charles II,Roi d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande vient d'arriver."

-Mon Frère!

Louis ouvrit les bras et les deux hommes s'embrassèrent dans une joie sûrement trop excessive pour n'être point un peu feinte.

Le Roi avait été mis au courant quelques jours plus tôt de la visite surprise d'un certain Roi D'Angleterre, qu'il exécrait sûrement moins que son véritable frère, mais sûrement plus qu'il n'aurait du pour le bien du Royaume.

Enfin, le propre d'être Roi est de jouer la comédie, aussi Louis avait-il déployé faste et dorures pour accueillir le carrosse du Stuart. La garde suisse se mis au garde-à-vous dès que Charles posa le pied sur le sol français, levant haut les hallebardes et laissèrent les retrouvailles se prolonger sous le brûlant soleil, sans broncher aucunement.

-Que la France est heureuse d'accueillir un si noble monarque!

Fallait-il comprendre le contraire? Louis n'appréciait guère Charles, mais n'aurait jamais, sûrement, osé l'insulter de face.

Louis tenait toujours l'Angleterre dans ses bras, quoiqu'il se soit un peu reculé. Mais il paraissait, à être ainsi, les mains sur les épaules de Charles, l’œil brillant, à profiter d'un moment si agréable qu'il aurait voulu qu'il dure à jamais.

-Savez-vous, j'ai justement aperçu votre sœur aux jardins! Je suis certain qu'elle bondira de joie en vous revoyant. Vais-je l'appeler où voulons-nous la visiter?

Charles en voyant Louis se dit qu'il en faisait de trop mais bon sa ne le gêner pas et il s'attendait a se genre de chose, il se dit dans ça tête , que c'était bien un français



"Je préfères qu'on aille la trouver, comme ça lui fera la surprise, sinon Louis sa vous gène si je reste environ un semaine ici car je dois vous parlez de beaucoup chose."

[attention aux fautes d'orthographes ]

Louis ne fut pas étonné de ne point voir de sourire sadique aux lèvres du Stuart, il n'empêche qu'il avait sa petite idée sur la "surprise".
Charles voulait-il surveiller les agissements de sa sœur? Voulait-il la surprendre sans lui laisser le temps de se préparer à le recevoir?
Qu'importe après tout, Louis ne se mêlerait pas de ces affaires de ménage.

Il afficha donc le visage le plus allègre qu'on eu pu le voir exhiber depuis le printemps particulièrement radieux.

Comme un enfant fier de lui-même et de ses joujoux, Louis marchait d'un pas alerte, les mains croisées derrière son dos, le nez en l'air.
En faisait-il trop? Peut-être, toutefois c'était une bonne manière de ne pas dévoiler qu'il pestait d'être ici quand il aurait pu être ailleurs...
Ah, Louise!

Il jeta un coup d’œil furtifs aux fenêtres du château, mais ne vit aucune silhouette féminine qui l'observerait amoureusement, accoudée au rebord.

-Alors, de quoi vouliez-vous m'entretenir qu'il vous fusse obliger de souffrir si long voyage?

Ils entrèrent lentement dans les jardins, bien décidés à rester discrets, pour faire la surprise...

En apprennant l'arrivée surprise de son Roi, le duc de Birmingham bondit et s'élança vers la Cour de Fontainbleau, depuis l'antichambre.
En voyant les deux cousins marcher ensemble, le duc sourit et s'approcha d'eux.

Après un salut profond et très respectueux , il se permit de leur parler


-Je vous prie d'excuser mon insolente impolitesse leur Majesté, mais je ne puis davantage rester dans l'ombre sans les saluer et présenter mes plus profondes salutations

A ces mots, il s'inclina une seconde fois, et fesait mine d'attendre pour leur baiser la main

Louis stoppa net sa marche. Comment, les gardes auraient laissé approcher un quidam d'aussi pres de deux monarques?

La surprise l'avait immobilisé, et il se tenait droit comme une statue de marbre devant la silhouette fine et agréable d'une homme qui se répendait en éloge et se tordait en courbettes.

Allons, releve-toi donc, que je puisse savoir qui tu es!

Ce qu'il fit durant a peine quelques secondes, juste avant de s'incliner a nouveau, à cheval sur l'étiquette.

Louis pourtant avait crut le reconnaitre, quoiqu'il n'en soit pas sûr. L'avait-il déjà vu? Il lui semblait reconnaitre un léger accent anglais, et une morphologie qui leur est propre : ce maintient toujours supérieur même lorsqu'il s'agit de lécher les bottes.

Le Roi de France se retourna alors vers son "frere".

-Charles, est-ce un de vos compatriotes ?

Il donna distraitement sa main au duc alors qu'il attendait la réponse du Stuart. Son nom alors lui revint comme un évidence: il était si connu! Birmingham... !

Après un voyage plutot houleux, la jeune Vicomtesse était finalement arrivée dans la capitale quelle n'avait encore jamais vu. Ses yeux émerveillés découvrirent des gens bien curieux, si différents des petits nobles bretons qui formaient l'élite des invités rares de ses parents. En effet à Paris, les badauds déambulaient avec bruit et vivacité, cotoyant des femmes arborant des robes et des coiffures plus étranges les unes que les autres. Passant devant un hotel de noble, Narcissa avait même vu une coiffure representant un navire.

Seigneur, faut il qu'à Paris les perruquiers soient ingénieurs pour réussir de telles prouesses techniques...pensa-t-elle.

Elle était finalement descendu à l'hotel de sa tante, vieille femme acariatre mais qui avait consentit à la loger le temps d'une année. La vieille dame n'était pas bien riche mais gardait une attitude noble et méprisante des petites gens, ainsi qu'une pension suffisante pour se conserver une cuisinière qui lui servait aussi de femme de chambre.
Lorsque Narcissa se présentat devant elle, la tante l'observa des pieds à la tête d'un regard critique et la salua par un méprisant:

-"Que tu es maigre....tu effrayerais le dernier mendiant. Tourne toi..."

Narcissa s'executa et tourna lentement sur elle même

-Mon frère a toujours été un sot. Jamais capable de prendre descision qui vaille, incapable de donner un heritier a notre famille, et voilà qu'il t'envoie toi à la cour. Le dernier deshonneur des Vicomte de Vannes est en marche.

Narcissa repondit poliment

-Je suis également enchantée de faire votre connaissance et notre entente ne laisse aucun doute à mes yeux.

Pendant quelle plongeait en réverence, la voix nasillarde de la vieille s'eleva de nouveaux

-Petite impertinente...Tu logeras dans la seconde chambre, et tache de te trouver un mari, ton unique tache sera de faire en sorte que notre lignée se perpétue. A présent monte et installe tes affaires, dans quelques jours, je t'emenerais a la cour, tu tacheras de t'y faire remarquer.

Narcissa demanda

-M'avez vous donc trouvé une marraine aussi vite ?

-Marraine ou pas, tellement de personne se présentent à la cour de nos jours que tu ne risques guère d'en avoir besoin, pour qui te prends tu donc. Si tu crois à l'utopie de ton père, prends garde de n'y croire trop longtemps, l'air empoisonné de la cour te revulseras bien assez vite et tu retourneras d'ici peu dans ta bretagne pour oublier ce lieu ou l'on est soit trop vu, soit trop ignoré.

Après plusieurs jours, Narcissa fut enfin emmenée a la cour. Malgrè quelle portât sa plus belle robe, celle ci parraissait bien fade comparée aux atours des Dames de la cour. Mais la petite prinvinciale ne se souciait guère de sa robe, emerveillée elle suivait sa tante vers l'entrée du chateau. Lorsqu'elles y pénétrèrent, Narcissa se retrouva plongée dans la foule. Des murmures venant de tout côtés lui indiquèrent le pourquoi.

Le roi va bientôt passer...

Lorsqu'enfin on l'aperçut , tous ployèrent en réverance. Narcissa fixait le roi et les courtisans qui le suivaient, autant curieuse qu'éblouie.

Je vois le roi de France...cet homme derrière doit surement être le seigneur de..

Un coup de pied de sa tante la ramena à la réalité et elle executa une reverence à son tour, le coeur battant à tout rompre dans son corset décidement trop sérré.