Appartements de la baronne de Frenolec ,ouverts à tous!

« Mon bon Silvio, pourriez-vous m’apporter une paillasse, sur laquelle je pourrais passer la nuit ? Cela ne devrait pas être difficile à trouver dans les parages me semble-t-il ».

La paillasse arriva avant que la Baronne ne puisse lui répondre,

« Merci Silvio, voilà qui fera bien l’affaire ! »

Silvio, malgré son jeune âge, avait songé à apporter également la literie, et cela rassura Jean-Jean : la Baronne, malgré son jeune âge, était déjà respectée, ou peut-être savait-elle se faire respecter. Silvio quitta les appartements.

Avant que la Baronne n’ait pu répondre à sa question concernant les repas, Jean-Jean ne put s’empêcher de regarder avec insistance la cuve réservée aux ablutions.

« Mademoiselle, me permettez-vous de faire mes ablutions avant que nous ne mangions ? Je désire être propre et présentable, l’Auberge n’était pas l’endroit idéal pour effacer les affres de la longue route. ».

La Baronne acquiésca, et voilà notre Jean-Jean dans la pièce recevant la cuve.

» Diantre, belle invention » se disait Jean-Jean.

Ne sachant pas comment faire, il se déshabilla, et plongea dans la cuve.

Il ne remarqua pas que Louise l’observe. Elle eut un haut le cœur : le dos de Jean-Jean était lacéré de haut en bas. Elle ne comprenait pas :

était-il réellement un Clerc et Architecte, ou était-il un malfrat, qui, sans qu’elle ne le sache, s’était non seulement introduit dans Fontainebleau, mais également dans ses appartements ?

Pendant ce temps, Jean-Jean se délecta de ce nouveau plaisir…

Louise observa étrangement l'homme devant elle ,qui paraissait gouter avec plaisir à l'eau chaude du bain ,elle se posa des questions à son sujet
*était il vraiment ce qu'il prétendait ou plutôt un ancien galérien*

-He bien messire ,j'espère que ce bain vous plait!Le repas se prend à l'heure que vous voudrez ,je ne mange pas souvent à Fontainebleau ,mais nous ferons exception durant votre séjour!Nous irons bien sur à la chapelle ensemble .

Elle ne fit aps de remarque au sujet de son dos mais le regarda d'un air étrange.

-Vous vous demandez pourquoi mon lit est à deux places?N'ayez pas d'inquiétude ,je n'ai aps d'amant ,c'est meublé comme ça depuis que je suis arrivée!

« Le repas se prend à l'heure que vous voudrez, je ne mange pas souvent à Fontainebleau, mais nous ferons exception durant votre séjour. »

Après avoir passé près d’une heure la cuve de la Baronne, Jean-Jean revêtit des vêtements décents et propres, tout fier qu’il fût de pouvoir déjeuner en compagnie de Louise, et qui sait, d’autres personnes de la Cour. Heureusement qu’il avait été élevé à la dure, toute nourriture qui lui serait présentée serait accueillie avec plaisir. Enfin, se présenter au bras d’une jeune fille ne pouvait que le combler et le rendre fier. Il lui dit :

« Ma chère demoiselle, permettez-moi de vous remercier d’avoir pu plonger dans cette cuve, et y faire mes ablutions ! C’est, pour moi une grande nouveauté. Pourtant, nous, Architectes, la connaissons, néanmoins nous nous en méfions, pour la plupart. Il semblerait que la Faculté la considère comme un agent propagateur de maladies.
De plus, il me semble reconnaître la senteur de l’eau de mille fleurs, d’où nous viennent ces effluves ? J’ai l’impression de vivre sur un nuage. » .

Louise pensait assister à une apparition : notre Jean-Jean était habillé à la mode de Fontainebleau :
Quelques détails ne trompaient pas : son collet était droit, agrémenté d’un col, de plus il chaussait des souliers « à cric ». Jean-Jean saisit également quelque fierté en elle d’être accompagnée par un gentilhomme, gentilhomme, qui, en fait, aurait pu être son père !

Louise sourit mais discrètement ,l'homme avait fier allure ainsi lavé et habillé et si il n'avait été clerc elle lui aurait bien fait demande en mariage!!Peut etre un peu vieux mais l'âge en compte pas

-Tout compte fait messire ,vosu savez nous autres nobles ne déjeunons pas avec le roi donc nous nous débrouillons .Nous devrons donc aller manger ailleurs ou bien demander aux cuisines de quoi manger ,nous déjeunerons soit dans une auberge soit dans mes appartements.Après cela je vous ferai rencontrer quelques personnes dont la duchesse d'agenois.

elle s'approcha de lui
-Non ,c'est de l'eau de rose ma préférée,vous etes fort beau en ce costume,vous savez!Un parfait gentilhomme !Vous autres de al faculté vous vous trompez ,l'eau n'est aps source de maladies !

Louise laissant à Jean-Jean le choix des armes, il proposa :

« Ma gente demoiselle, je vous propose de manger en vos appartements, il me fait réellement plaisir de pouvoir manger en votre seule compagnie. Cela nous permettra de bavarder quelque peu, sans être dérangé ou écouté. Votre proposition de me présenter la Duchesse d’Agenois me semble être parfaite. D’autre part, je sais qu’une nouveauté est servie au Château, le chocolat. N’en ayant jamais bu ou mangé, pensez-vous que nous pourrions le prendre en sa compagnie, ainsi que d' autres personnes dont vous me parliez ? «

Jean-Jean se sentait à l’aise en ces lieux, et la Baronne, quoique fort jeune, semblait connaître la Cour, sa composition et ses habitudes. N’oubliant pas son rôle de confesseur, il lui proposa de ne pas tarder, de se rendre à la Chapelle, après le déjeuner et y rencontrer, peut-être, non seulement les officiants, mais également les habitués des lieux. Il savait très bien que la Chapelle était l’endroit idéal, après les salons, où il pouvait rencontrer des éléments intéressants, qui pourraient l’épauler dans son dessein final :

« La première demeure de Dieu, le premier Temple à lui construire, c'est l'homme lui-même fait à l'image de Dieu. ».

Mais il n’était pas pressé, son but à atteindre, dont même Louise ne pouvait connaître l’existence, devait se construire pierre par pierre…

Louise considéra ce personnage qu'elle trouvait d'heures en heure plus énigmatique d'un oeil sceptique .

-He bien messire ce sera fait comme vous le voulez.Silvio!!!

Le petit garçon aux cheveux couleur de paille accourut aussitôt .


-Va chercher aux cuisines un plateau de victuailles et le service nécessaire pour deux personnes .

-Tout de suite madame.

Et il repartit aussi rapide qu'une tornade.-Messire chanteloup ,nous rencontrerons la duchesse lorsqu'elle sera de retour je vous en fais le serment ,le chocolat pour votre gouverne est certes très agréable pour nos papilles gustatives et il faut assurément que vous en goutiez.Nous irons à la chapelle sitôt le repas fini.

Elle considéra Chanteloup d'un oeil espiègle;

Puis je vous poser quelques questions importantes?

“Ma chère Baronne, répondit Jean-Jean, posez moi toute question qui vous intéresse ou vous tracasse : je ne trouve que normal qu’une jeune fille de seize ans, qui propose à un gentilhomme inconnu de quarante ans de partager ses appartements, s’inquiète de le connaître ».

Cela ne gêna guère Jean-Jean, que du contraire, comme il l’avait proposé, il se prépara à écouter Louise : lui-même se disait qu’il lui poserait quelques questions, se demandant comment une jeune fille de seize ans soit si bien en Cour, et surtout, il lui semblait que, malgré son très jeune âge, Louise possédait des connaissances remarquables.

Voilà qui alimentera leur repas !

Et ensuite, la Chapelle, La Duchesse, d’autres personnes, et tout cela au bras de cette merveilleuse jeune fille de seize ans : Jean-Jean aura du mal à cacher son doux plaisir…

-Tout d'abord j'aimerai savoir si vous etes réellement catholique ou bien si vous faites parti de ce mouvement qui prend de l'ampleur et que l'on nomme calvinisme.Ensuite quel est votre but et enfin d'ou viennent ces zébrures que vous portez sur votre dos?

Louise attendit les réponses à toutes ses questions qui trottaient dans sa tête depuis des heures.

“Baronne, sachez que je ne suis en rien cette nouvelle tendance, que l’on appelle le Calvinisme, néanmoins, il est dans mes habitudes de respecter autrui. Ce qui n’empêche que trente années au monastère ont ancré en moi les préceptes de la religion Catholique et Apostolique Romaine, n’oubliez pas que je fais partie du Clergé ! Vous pensez bien que je ne vous aurais pas proposé de devenir votre confesseur, et, souvenez-vous, c’est en la Cathédrale que nous nous sommes rencontrés. Mais je ne vous en veux pas.
Quant aux dos lacéré que vous avez admiré à mon insu, lorsque je me prélassais dans votre cuve, il est moins agréable à vous conter son origine.
Vous savez que le Christ, notre sauveur, est mort sur la Croix, le Vendredi Saint, à quinze heures. Tous les vendredis, à quinze heures, en souvenir de cette mort atroce, nous autres, occupants des monastères et abbayes, devons souffrir la Croix, et nous flageller en priant le Seigneur, notre Dieu ».

Voici déjà quelques réponses faites à la jeune Baronne, restait à expliquer ce qui amenait Jean-Jean à s’introduire à la Cour :

« Enfin, mon supérieur au monastère, tient à ce que je mette mes connaissances au service du Roi et de notre patrie, c’est donc ma fonction d’Architecte qui m’a amené à vous et à Fontainebleau.
J’espère vous avoir répondu, et sachez, si vous me le permettez, ma chère Louise, que votre serviteur sera toujours là, pour vous aider, pour vous guider, et enfin, peut-être, un jour pour vous consoler ! »

-Louise devint toute rouge.

-Veuillez accepter mes excuses mais en ces temps on n'est jamais trop prudent ,je trouve la flagellation horrible et je la réprouve dument .Puis elle ajouta :messireje vous sais gré de vos bonnes intentions à mon égard ,mais ce que je recherche en cette cour c'est aussi un parti chose difficile à trouver.Je vous prends sou mon aile pendant quelques temps avant de passer le relais à quelqu'un d'autre étant trop jeune pour vous assurer protection.

“Ne rougissez pas Baronne, je peux comprendre votre embarras ; mais sachez que cette flagellation a encore cours aujourd’hui, et que ma position ne me permet pas de la réprouver.
Je sais que vous ne pouvez me procurer protection, c’est bien pour cette raison que je vous propose la mienne, dès que je serai en cour, la porte de mes appartements vous sera toujours ouverte, comme l’est la vôtre aujourd’hui ! »

Voilà qui rassura Louise…

« Enfin, osa Jean-Jean, ne prendrions-nous pas notre repas, cela nous permettra de parler de vous, et, qui sait, peut-être pourrais-je vous présenter à mon tour, dans quelque temps, un bon parti. Mais n’oubliez pas que l’important, en amour, se résume à une petite phrase qui, je l’espère, deviendra vôtre : « Plus que hier, moins que demain ! ». D’autre part, puis-je me permettre de vous demander si vos parents vous ont dotée, de manière à faciliter votre entreprise ? »

Louise se rendit compte que Jean-Jean s’intéressait à sa personne, et ce de manière très honnête.

« Je vous propose que pendant le repas, nous parlions de notre passé, afin de préparer notre futur. Soyons alliés en cette Cour, probablement difficile à manipuler, si cela est du moins possible… »

Sur ces mots, la table fut dressée, et le repas servi…

Elle dit à Silvio d'aller servir son invité ce que s'empressa de faire le jeune angelot.

-He bien puisque c'est votre désir parlons de moi.Je suis de petite noblesse comme vous avez du vous rendre compte ,je suis née dans une petite baronnie de Bretagne nommée Baronnie de Frenolec .Mais je peux dire que je suis d'ancienne et pure noblesse car mon aieul se battit aux croisades avec le roi Philippe II Auguste ,mon père Louis 20 ème du nom fut capitaine de l'armée du juste Louis XIII.jE SUIS deuxième d'une familel de six enfants et c'est mon frère ainé Jean qui héritera de la baronnie ,j'étudie le latin l'atronomie ,le chant,la danse ,le clavecin et je monte aprfaitement à cheval .

Sur ce elle s'arreta une lueur vive brillant dans son regard du plus beau vert.

-Et comme je vous ai dit je recherche l'âme soeur qui ne viendra pas ,peu de personnes sont en effet apte à se marier à fontainebleau en ce moment ,mais parlons de vous cher ami.

"Je suis un enfant abandonné, déposé de nuit devant l’entrée d’un monastère génovéfain en 1623, c’est du moins ce que disent mes bienfaiteurs. Une lettre jointe stipulait que je porterais le doux prénom de Jean-Jean, et le nom Chanteloup. La bourse jointe servirait à mon éducation. Tous les ans, le quatrième jour du mois de septembre, un carrosse de couleur noire passait devant l’entrée du monastère, et je me tenais debout devant la grande porte en bois.
Les années passèrent, et chaque année, après que le rideau du carrosse fut refermé, un laquais déposait une bourse bien garnie chez le curé du village, à l’attention du monastère, et je reçus l’éducation demandée : non seulement devins-je moine, par la suite clerc, et enfin, ce qui n’était pas dans les habitudes, je devins Architecte, c’est-à-dire Penseur de la Construction. L’Abbé décida que je devais parfaire mes connaissances, et m’envoya “travailler” dans divers monastères. ! Enfin, à l’aube de mes 40 ans, il décida de me donner la permission de contacter toute personne gravitant autour de la Cour, mes connaissances pouvant être utilisée pour le Bien du Royaume.
Voyez-vous, ma vie est déjà bien remplie, et je pense que ce n'en est pas encore terminé. Je tiens à vous répéter que je continuerai à vous aider, si du moins vous me le permettez.
Peut-être me sera-t-il possible d'officer à la Chapelle, peut-être pourrais-je aider à la construction ou à la rénovation des nombreux châteaux de la Cour. Je pourrais combiner les deux. Enfin, j'aimerais terminer en construisant une abbaye, dont le but serait d'éduquer les enfants de la petite noblesse, afin de leurs donner les armes nécessaires en ce monde en mouvement. Mais il s'agit peut-être d'un rêve, et j'ai le temps d'y réfléchir!".

Voilà les explications données à la jeune Baronne, et le déjeuner était terminé. Jean-Jean proposa à Louise de passer d'abord par la Chapelle, et de rencontrer ensuite quelques connaissances de son hôte.

Elle se leva et réfléchit quelques instants.

-He bien c'est d'accord nous nous rendrons donc là bas .
Silvio accompagne donc messire Chanteloup ,je vous rejoindrai dès que j'aurais fini ma toilette.

Silvio dévala les escaliers, en direction des appartements de la jeune Baronne. Avant de s’annoncer, il respira un bon coup, et frappa à la porte. Le jeune garçon, en voyant la Baronne de Frénolec, oublia toutes les conventions, et mit genou à terre, lui baisa la main, et lui dit :

« Baronne, permettez-moi de vous remercier de votre bonté envers moi, je me rends compte de la chance qui m’est offerte, non seulement de pouvoir devenir un gentilhomme, mais également de pouvoir apprendre et étudier en votre compagnie, celle de Madame de Montespan, ainsi que de Messire Chanteloup.

Je me rends compte que vous me voulez du bien, et j’essaierai de répondre à vos attentes !
Messire Chanteloup m’a chargé de venir chercher votre cousin, Nicolas, afin de commencer notre leçon du matin. Je pense que nous ferons du latin, et de la géographie. Si cela devait en être le cas, je saurai enfin où se trouvent tous ces pays dont j’entends les noms dans les couloirs, mais qui me sont totalement inconnus.
Nicolas est-il déjà prêt ? »

La première demeure de Dieu, le premier Temple à lui construire, c'est l'homme lui-même fait à l'image de Dieu

Nemo me impune lacessit

Silvio arriva à la porte de la baronne et un jeune homme lui ouvrit .C'était Nicolas qui avait encore grandi ,un vrai géant la baronne devait sembler frele par rapport à lui .Nicolas avait fait des progrès en oration.

-Noble sire que me vaut l'honneur de votre visite à cette heure de la journée?

-Une promenade à cheval.

Nicolas lui sourit mais d'un sourire gené.

-Je suis désolé Silvio ,je dois partit à Paris prendre un bain dans la Seine et puis aller chez le tailleur.Je vais sans doute m'en aller dans quelques temps d'ici et voguer à travers les mers et océans.

La Baronne entra dans ses appartements suivie de l'ambassadeur de Venise.
Tous deux s'assierent ...

[Merci d'éviter les posts de 2 lignes, c'est inutile et c'est très pénible!]

HRP ALESSANDRO REPRENEZ VOUS VOYONS!!!

Louise se releva soudain de sa chaise,celle ci était d'ailleurs peu confortable et si elle était restée plus longtemps dans cette position nul doute qu'elle aurait ressenti la douleur après.....
Elle fixa ,une lueur provoquante dans le regard,l'ambassadeur italien.

-Messire ,maintenant si vous le permettez je vais vous fausser compagnie,ne croyez cependant pas que c'est pour me débarasser de vous au plus vite,vous comprendrez que je ne suis pas une de ces filles faciles qui s'offre au regard de tous et qu'en conséquence je me changerais dans la petite pièce attenante.......Je me presse n'ayez pas d'inquiétude..

Une fille à peine sortiede l'enfance entra soudain dans la chambre.Ses joues étaient rouges et elle semblait essoufflée
Elle inclina légèrement la tête,effrayée

-Messire di Negrar voici ma femme de chambre Jeanne ,ne lui tenez pas rigueur de ces manières désastreuses c'est une fille de paysans c'est donc normal!C'est une brave fille.

Elle s'adressa alors à celle ci

-Jeanne tu tiendras compagnie à monsieur...
Louise s'éloigna donc.

-"Ma douce Louise, la nouvelle que vous vous absentez, m'est bien mauvaise et m'attriste, mais je le comprends, puis-je cependant vous demander de revêtir cette robe que je vous ai fait porter, qui sans nul doute vous siéra à merveille."

Puis il la regarda passer la porte, et filer dans la pièce jouxtant celle ou il était.
Pendant ce temps, il se fit servir une tasse de café par la dame de compagnie de la baronne.

Puis elle entra et là................................

-Oh mais quel torture ,impossible d'enfiler ce ....de corset,Mon dieu ,aidez moi!!!

Elle finit par y réussir ..sans sa femme de chambre c'était evidemment bien difficile d'enfiler cette robe ..La mode était parfois si contraignante ett étouffante!
Elle se regarda alors dans un petit miroir fixé au mur craquelé
C'était splendide,si elle n'avait pas été sûre d'être en face de ce miroir et de le regarder elle se serait surpris à penser que c'était quelqu'un d'autre ,que cet image que lui renvoyait el miroir ne pouvait être qu'une étrangère
Le rouge était si frappant qu'elle se demandait si elle oserait jamais se pavaner en une telle tenue mais si son hôte y tenait qu'y pouvait elle...
La porte grinça...
eLLE ENTRA

-Votre Excellence votre goût en s'arrête pas aux occupations d'hommes vous savez choisir les toilettes appropriées aux dames..vous deviez être apprécié des dames là bas,à venise..

Quand il la vit entrer, il s'écria :

-"Mon Dieu que vous êtes belle, jamais je n'aurais pu immaginer rencontrer un jour une telle beauté."

Il la regarda, le corset mettait en valeur sa poitrine et son ventre plat tandis que le reste de la robe modellait sa croupe avec le soupçon de provocation nécéssaire.
La teinte rouge de la robe ainsi que la dentelle faisait un effet terrible chez le comte.
Jamais, même au cours de ses voyages en orient il n'avait vu de si belle femme.
Puis il lui dit :

-"Chère Louise, fermez les yeux je vous prie."

Elle s'éxecuta, puis il l'aida à se déplacer jusqu'à être face à un miroir, puis le comte tira une poche de velours hors de sa poche, il ouvrit cette poche et sortit douze ferrets en or blanc, en diamants et en saphirs.
Il les posa sur son cou, et remit le fermoir et finalement, il lui dit d'ouvrir les yeux.