Duchesse De La Vallière

Nom, prénom: Louise Françoise de La Baume Le Blanc

Âge: 19 ans

Personnage incarné: Demoiselle de la Vallière, Dame de la cour.

Histoire:Louise Françoise de La Baume Le Blanc, demoiselle puis duchesse de La Vallière (Tours, 1644–Paris 1710), maîtresse de Louis XIV.

Née en 1644 au Manoir de La Vallière, à Tours, la jeune Louise Françoise passe ensuite une enfance agréable au château de Blois, où son père est pris au service de Gaston d'Orléans. En 1661, elle entre en tant que demoiselle d'honneur dans la Maison d'Henriette d'Angleterre, dite Madame, première épouse de Monsieur, frère du roi. Le rapprochement entre Louis XIV et elle se fait à travers la stratégie dite, à l'époque, du « paravent » : le roi devait feindre de la courtiser afin que l'attention de la Cour ne se porte plus sur l'idylle qui naissait entre le roi et Madame. Louise avait alors dix-sept ans et l'on dit qu'elle aimait le roi en cachette depuis son arrivée à la Cour. Rapidement, le roi est pris à son propre jeu et fait de Louise sa première favorite. La liaison, connue de tous, bien que discrètement entretenue, provoque les tollés des dévots de la Cour et de ses prédicateurs, comme Bossuet. Le roi, très croyant jusque là, se refuse à communier dès 1663.

Nicolas Fouquet, voulant se faire une alliée proche du roi, lui propose une "gratification" de 20000 pistoles. Celle-ci la refuse mais le roi sera informée de cette proposition qui contribuera à augmenter le courroux du roi contre Fouquet.

Elle aura quatre enfants du roi, dont les deux derniers atteindront l'âge adulte et seront légitimés :

Charles (1661-1664)
Philippe (1665-1665)
Marie-Anne de Bourbon (1666-1739), première demoiselle de Blois, qui épousa Louis Armand Ier de Bourbon-Conti
Louis de Bourbon (1667-1683), comte de Vermandois
Après la mort d'Anne d'Autriche en 1666, Louis XIV affiche publiquement leur liaison, ce qui déplaît beaucoup à Louise qui, aux fastes d'une liaison publique avec le roi, préfère les démonstrations de tendresse en aparté. C'est à ce moment que la Cour voit le retour de la jeune beauté Françoise Athénaïs de Rochechouart de Mortemart, devenue entre temps Marquise de Montespan. Le roi, subjugué par cette « beauté à montrer à tous les ambassadeurs », cherche à en faire sa maîtresse. Le début de leur liaison, que l'on situe habituellement lors de la campagne des Flandres de 1666, marque le commencement d'un déclin sans retour de la faveur royale à l'égard de Louise. La sublime Athénaïs devient favorite en titre. En mai 1667, le roi érige les terres de Vaujours en duché et les offre à son ancienne maîtresse. Aux yeux de tous, c'est le cadeau de la disgrâce. Commence alors une période de cohabitation entre les deux favorites, Louis XIV souhaitant garder Louise à ses côtés, bien qu'il ne passe plus chez elle qu'en coup de vent avant de se rendre chez la Marquise. Dans l'espoir de regagner le cœur du roi qu'elle n'a pas cessé d'aimer, Louise essuie toutes les humiliations que lui inflige la nouvelle favorite, connue pour sa dent mordante et son esprit caustique. En 1670, après une longue maladie qui lui fait entrevoir la mort, Louise se tourne vers la religion, rédigeant d'émouvantes Réflexions sur la miséricorde de Dieu.

Sur les conseils de Bourdaloue et Bossuet, et après un premier départ raté, elle se retire de la Cour à l'issue d'une dernière entrevue avec le roi le 19 avril 1674 et choisit d'entrer en religion au couvent des Grandes-Carmélites du faubourg Saint-Jacques. Son départ fait grand bruit, notamment à cause des excuses publiques que Louise tient à adresser à la reine. Peu de temps après, elle prononce ses vœux perpétuels, prenant le nom de Louise de la Miséricorde. Au couvent, elle reçut plusieurs fois la visite de la reine, de Bossuet et de Madame de Montespan.

Elle meurt en 1710 après 36 ans de vie religieuse et est inhumée dans le cimetière de son couvent, loin de son duché-pairie, où rien n'atteste qu'elle soit venue un jour.

Saint-Simon n'hésite pas à la qualifier de "sainte" et dit d'elle : "Heureux le roi s'il n'eut eu que des maîtresses semblables à Mme de la Vallière...". Sainte-Beuve estime que, des trois plus célèbres favorites de Louis XIV, c'est elle "de beaucoup la plus intéressante, la seule vraiment intéressante en elle-même."

Apparence physique: "La beauté de Louise de La Vallière comporte grands agréments par l'éclat de la blancheur et de l'incarnat de son teint, par le bleu de ses yeux qui ont beaucoup de douceur et par la beauté de ses cheveux argentés. " En effet, Louise de La Vallière était sans conteste une vraie beautée malgré sa legère boiterie: d'un teint blanc laiteux qui reflète son innoncence , le bleu clair de ses doux yeux encadraient d'une chevelure argentés qui en font une sorte de déesse, telle sa beauté est grande et si différente de celle des autres femmes. Louise possède une beauté naturelle, nullement exagérée à outrance; elle est belle, naturelle, douce et aimante et tout son physique ne tend qu'à le prouver.

Psychologie du personnage (caractère, défauts/qualités etc...): Le trait de caractère dominant de la Duchesse est son immense piété. Elle vout une dévotion au Seigneur sans bornes. Elle sera d'ailleurs partagée entre son amour pour le moi qui est contre ses valeurs et la religion en laquelle elle vout une foie sans bornes.
Elle est d'une énorme naïveté et d'une douceur infinie: elle ne ressemble en rien aux autres femmes peuplant la cour du Roy. Ces femmes-là sont fourbes, manipulatrices alors qu'elle n'est que gentillesse, amour et innoncence. Elle deteste la fourberie et le mensonge, lien direct avec son immense pieté.

Bienvenue chère Mademoiselle de La Vallière.

En ce qui concerne ta fiche, c'est dommage en effet... Si mes souvenirs sont bons, tu nous avais pleinement convaincus par ton test rp. Je pense donc que de faire une fiche de ton propre cru ne sera pas difficile !

Oups ^^

J'avoue que j'ai copié/collé pour ce qui ai de l'histoire... Je ne savais pas qu'il fallait l'écrire soi-même...

Je vais donc recommencer ce n'est pas du tout un problème

Le seul problème c'est que j'ai tendance a partir dans mes "délires" c'est-à-dire que j'ajoute des petites touches personnels... Est-ce que l'on a le droit d'ajouter certaines choses ? Des scènes qui ne sont pas réellement arrivé, mais qui aurait été probable d'arriver ? ( Je ne parle pas d'extra-terrestre ou de choses extra-ordinaires bien sûr... )

chère rivale,

c'est même fortement recommandé, il convient de s'approprier un personnage, même historique... des "dérives" sont permises, si elles impliquent d'autres personnage, il convient de le leur demander avant.

quand aux extra terrestres, il me semble en effet que vous pouvez les oublier.

à vous croiser, Mademoiselle !

Lol! On peut effectivement oublier Roswell dans les jardins de Fontaineblau! lol!

En tout cas pour ce qui est des touches personnelles c'est même recommendé! En effet, le but c'est de faire vivre un personnage et d'imaginer ce que ne disent pas les livres d'histoires...

Cependant il est bien certain qu'il faut que cela reste plausible dans une certaine mesure et dans l'esprit du personnage, du forum et de l'air du temps... De même il faut veiller à ne pas entrer en contradiction avec la vie réelle du personnage. (un exemple bateau: admettons, pour La Vallière tu ne pourrais pas dire que la messe l'ennuie, connaissant la dévôtion avérée et profonde du personnage historique...)

Mais sinon, au Temple des plaisirs Littéraires(c) (quoi c'est qd mm pas qu'Olivier qui a la licence! MDR!) c'est toujours un plaisir que de voir l'imagination galoper!

Ca n'avait rien à voir avec une quelconque paresse bien que je sois très paresseuse et qu'en ce moment l'envie de rp est plutot rare chez moi mais c'est juste passager, une petite déprime rien de plus^^.

J'essayerais de faire cette fameuse histoire aujourd'hui ou demain.

Citation :

(ces smileys sont stupides ! Y a même pas le baisemain ! Pff ! )

CES SMILEYS C MOI QUI LES AI MIS!

Alors viens me redire ça en face si tu l'oses

On attend votre nouvelle histoire avec impatience mademoiselle

ET BAH PUISQUE C CA JE TE FERAIS PLUS DE CALIN SMILEY! NAH!