Cardinal Jean-Benoît de Périgueux

Avertissement : l'auteur tient, dans un premier temps, à s'excuser pour le poids de la brique qui va suivre. Épaules frêles s'abstenir...

Nom, prénom : Jean-Benoît de Périgueux

Fonction : Cardinal

Âge : 39 ans

Caractère :

Étrangement, le Cardinal de Périgueux est une contradiction vivante. Catholique pur et dur, d'une foi inébranlable et inattaquable, le Cardinal de Périgueux, qui prône l'interprétation au pied de la lettre des saintes écritures, n'en est pas moins un être avide de pouvoir et de richesses. D’ailleurs, pourquoi prêcherait-il de telles absurdités, si ce n’est pour plaire aux têtes dirigeantes fort conservatrices et attachées à la Sainte Église Catholique? Précisons d’ailleurs, à se chapitre, que la chasteté n’a jamais été son point fort… ! Susceptible, il peut vous prendre en grippe pour d'obscures raisons, et gare a vous, car le Cardinal de Périgueux est aussi un sombre manipulateur. Langue de vipère, certe, mais avec un discours plus que persuasif auquel seront sensibles la plupart des croyants. D'ailleurs, ses habits ecclésiastiques sont un gage indéniable de crédibilité, et représentent un avantage abstrait mais efficace dans la plupart des débats. En apparence sage et sentencieux, Jean-Benoît de Périgueux prêche haut et fort la parole de Dieu, mais murmure en silence ses hommages à sa propre gloire.

Histoire :

Troisième fils du prolifique Comte de Dordogne, Jean-Benoît de Périgueux se retrouva, de par son rang à la naissance, dans une position fort commune à plusieurs jeunes de son époque. Tandis que son aîné était destiné à reprendre les terres de son père et que son deuxième frère se dirigeait allègrement vers une carrière de haut-gradé dans l’armée du Roi, Jean-Benoît fut confié aux Ordres religieux dès son plus jeune âge par un père désireux d’ainsi se faire pardonner, par le Seigneur, de nombreux écarts de conduite moraux sur lesquels nous ne nous étendrons point. Mentionnons simplement que les élans affectueux du Comte envers le petit Jean-Benoît étaient peut-être un brin exagérés, et que le Comte repentant senti le besoin de laver ses actes en confiant de le petit à des instances plus responsables. Ces évènements de jeunesse n’eurent pas une grande influence sur le petit Jean-Benoît, obéissant et calme de nature, si ce n’est qu’il tira un grand profit du fort sentiment de culpabilité paternel jusqu’à ce qu’il fut confié aux moines. Par la suite, le petit Jean-Benoît poursuivi dans la même lignée, se pliant sans rechigner aux enseignements ecclésiastiques, faisant tout pour plaire aux bienveillants moines, élève zélé et dévoué au Seigneur. Oh, on voyait bien déjà qu’il ferait belle carrière, Jean-Benoît de Périgueux, surtout que son père veillait toujours discrètement à ce qu’il puisse progresser vers les plus hautes sphères… Quelques donations généreuses ont le don de vous assurer un bel avenir.

Mais pourquoi, alors que l’on est si jeune et dans la force de l’âge, accepter de se plier de si bonne grâce à un chemin qui, sans être inhabituel, n’est loin d’avoir l’attrait des grands espaces verdoyants que l’on parcourt du haut d’un fort destrier, chargeant vers l’adversaire ? Simplement, le petit Jean-Benoît réalisa encore bien vite tout le profit qu’il pouvait en tirer. Ne lui avait-on pas démontré, dès son plus jeune âge, que ce qui se trouvait à votre portée pouvait être, sans gêne, utilisé ? N’avait-il pas appris que la culpabilité était une arme puissante et imparable, d’autant plus que c’est la victime qui tenait le manche du poignard ? Ainsi, Jean-Benoît ne mis pas beaucoup de temps à réaliser que, pour ceux chez qui la foi est inébranlable, le rappel des commandements stricts du Seigneur est une source inestimable d’éléments culpabilisateurs. Âgé de 13 ans, il rappelait déjà aux vieux moines épuisés dans les champs que le travail est source de délivrance et enseignait aux moines enrobés que l’on les séparations des biens matériels inclue aussi quelques restrictions alimentaires. À quelques occasions, il fut à même de constater que certains types de personnalités se prêtent mieux à la manipulation que d’autres, le souvenir cuisant de quelques fessées bien méritées en étant la preuve. Par chance, le prieur de la communauté était d’un conservatisme à effrayer St-Pierre lui-même, et il vit immédiatement chez le petit Jean-Benoît, un digne successeur. Le prieur n’eut jamais le temps de réaliser que l’adolescent lui montrait en fait ce qu’il voulait bien voir… Néanmoins, le temps passa, et grâce à la protection du prieur, Jean-Benoît en vint bien rapidement à avoir une influence marquée sur la communauté. Quelques problèmes d’ordres hormonaux vinrent troubler la fin de son adolescence, mais le jeune homme était toujours volontaire pour enseigner le catéchisme aux jeunes filles des communes voisines… Qu’il était facile, lorsque l’on choisissait une proie malléable, d’être assuré qu’il n’y aurait aucune rumeur désagréable à son endroit... Déjà, l’esprit manipulateur du désormais plus si petit Jean-Benoît se développait et prospérait.

Vers l’âge de 24 ans, la carrière dominicale du frère Jean-Benoît pris un nouvel envol, suite à la « malencontreuse » chute du vieux prieur dans les escaliers du monastère. S’étant depuis longtemps établi comme un figure d’autorité auprès des autres moines, il fut facilement élu prieur, et le monastère prospéra au cours des années qui suivirent. Frère Jean-Benoît était certe très pointilleux, mais présentait des qualités d’administrateur indéniables. Ce fut aussi à cette époque que sa route croisa celle du Cardinal Mazarin, qui dirigeait déjà, dans les coulisses, la destinée du royaume français depuis cinq ans. En visite au Périgord, le Cardinal Mazarin s’établit au monastère, pour une nuit. Loin d’être coulés dans le même moule, les deux hommes pactisèrent néanmoins, et Jean-Benoît comprit bien vite les bienfaits qu’il y aurait à se faire un allié aussi haut placé. Ainsi, alors que la petite halte devait, au départ, ne durée qu’une nuit, il arriva que plusieurs gardes du Cardinal furent pris de drôles de malaises… rien de bien dangereux, mais assez incommodants, cependant, pour retarder la poursuite du voyage du Cardinal. Durant ces quelques jours, Mazarin et Frère Jean-Benoît discutèrent de nombreuses heures, et le prieur réussit à se faire bien voir du Cardinal. Par la suite, les deux hommes restèrent en contact pendant plusieurs années, le prieur approuvant chacune des politiques du Cardinal et apportant de l’eau au moulin des réformes du vrai souverain Français.

Six ans plus tard, au cours d’une embuscade supposément organisé par des factions huguenots plus radicales, l’évêque de Périgueux, pourtant un homme solide, fut assassiné. Plusieurs furent surpris qu’un homme d’église ait ainsi péri dans un conflit persistant les ayant, jusqu’à présent épargné, mais l’on pouvait au moins se consoler en constatant que la relève était prometteuse. Grâce aux pressions du Comte de Dordogne, ainsi qu’au jeu de coulisse du Cardinal de Mazarin, le Frère Jean-Benoît fut nommé Évêque de Périgueux. Afin de rendre hommage, dit-il, à cette importante cité du territoire dirigé par son géniteur, Jean-Benoît décida d’emprunter ce nom, ce qui ne fut pas sans causer certains maux de têtes aux scribes qui se devaient maintenant d’écrire « Jean-Benoît de Périgueux, évêque de Périgueux », et qui trouvaient le tout fort peu poétique ! En tant qu’évêque, Jean-Benoît de Périgueux poursuivit son bon travail, appliquant les réformes au pied de la lettre et avec une vigueur surprenante… et des méthodes parfois… originales. Néanmoins, le règne de Périgueux se déroula sans ombrage, et à peine avait-il atteint l’âge de 37 ans que son nom fut suggéré, gracieuseté du Cardinal de Mazarin, au Pape pour une charge de Cardinal. Jules Mazarin n’aura, malheureusement, jamais l’occasion de voir le résultat de son travail, alors qu’il décède en 1661. Néanmoins, le Roi Louis XIV prendra la relève dans ce dossier, et de Périgueux obtient finalement son chapeau de Cardinal en 1663, époque à laquelle il se dirige vers la capitale française afin d’y remplir ses nouvelles fonction.

Physique :

Heureusement pour lui, Jean-Benoît de Périgueux n’eut jamais besoin d’aller au combat. Plutôt chétif dans sa jeunesse, il est devenu, avec le temps, un homme d’une carrure peu intimidante, et son début de calvitie, dissimulé partiellement par son chapeau, n’aide en rien à son allure générale. Le nez pointu, un regard qui se veut sage, mais drôlement pénétrant, le Cardinal entretient une courte moustache, dans laquelle ses doigts s’affairent lorsqu’il est pensif ! Se voulant modeste, de Périgueux ne peut s’empêcher, chaque jour, de constater à quel point la robe rouge de Cardinal lui sied à merveille…

Tres bien ! Bravo ! Enfin le cardinal!
Allez, va faire joujou avec Jean Windefield

Dois-je considérer cela comme le check #1, mon fils?

seulement si tu me donnes l'absolution de mes péchés.... mon pere....

... hum... considérons donc ce marché un instant... Le pardon des péchés ne devrait en aucun cas être accordé selon les richesses... mais mes coffres ne sont pas tout à fait plein.

* tâtonne sa moustache

Une fois n'est pas coutume... Allez donc en paix, mon fils, je vous absous de vos péchés!

Ah mon coeur se sent plus léger ! Voyons, maintenant que tu m'as pardonné mes deux ou trois petits sacrifices d'enfants en bas-âge; je suppose que je peux continuer ?

Check 1 !

Saint-Aignan a écrit:

Voyons, maintenant que tu m'as pardonné mes deux ou trois petits sacrifices d'enfants en bas-âge; je suppose que je peux continuer ?

La voie vers le Seigneur peut prendre bien des tournures différentes, mon fils... Tant que votre coeur demeure pur!

allez finis les belles paroles montre nous ce que tu vaux (Vaux_vaux.. compris ? Non.. bon.. tant pis)

L'impatience, mon fils, est un vilain défaut. D'ailleurs, il serait plus approprié de me laisser le temps d'arriver à la cours...

Citation :

Avertissement : l'auteur tient, dans un premier temps, à s'excuser pour le poids de la brique qui va suivre. Épaules frêles s'abstenir...

LOL! C'est que vous rivaliser avec notre Adrien de Chastignac mon pere. Heureusement que je sois de bonne constitution!

Oserez-vous charger pour les confessions de la Duchesse de Valentinois, mon pere? En supposant qu'elle ait quelque chose a se repprocher....oooh, peut-etre cette derniere phrase... un de 7 peches capitaux non? La gourmandise, ca compte?? MES ORANGES!!!

Admin #2: check

j'ai pas de smileys qui se tapent l'un sur l'autre avec une massue

Delphine de Valentinois a écrit:

En supposant qu'elle ait quelque chose a se repprocher....oooh, peut-etre cette derniere phrase... un de 7 peches capitaux non? La gourmandise, ca compte?? MES ORANGES!!!

Et ces prétendus écart de conduite avec un Mousquetaire de renom, qu'en faites-vous, chère enfant?

AH non ça c'est MA rumeur !! COPIEUR ! PLAGIEUR !!

Citation :

Et ces prétendus écart de conduite avec un Mousquetaire de renom, qu'en faites-vous, chère enfant?

! Mais de quels ecarts de conduite me repprochez-vous mon pere?

[D'Artagnan...je ne sais pas toi, mais cette rumeur me suit absolument partout! lolll Imagine si Delphine flirtait vraiment! pfffff]

Puisque c'est ça, on continu sur TA présentation

J'avoue que ça devient lassant, à la fin... Quoique bon... avouons tout de même que Delphine ne laisse pas le Lieutenant totalement indifférent... Sauf qu'en effet, jusqu'à présent, certains détails ont été exagérés... C'EST RIEN PASSER DANS LE LIT, J'VOUS DIS! LOL!

VOILA C'EST QUOI CA ???
L'antifloodeur qui flood !!!
PRIS SUR LE FAIT

Bah, je ne faisais que souhaiter la bienvenue à Monsieur le Cardinal de Périgueux... Soyez le bienvenu, mon Père!

Et si vous pouviez me confesser des péchés de luxure que j'ai eu en pensée avec Delphine, mon pere, vous seriez bien aimable... !

Bah oui, c'est un des 7 péchés capitaux, quand même!

EDIT BY MODO D'ART : LOL!! Les deux derniers paragraphes sont de Chasty... mais je les trouve plutôt drôle, donc je lese laisse... LOL!

En passant, vous saviez que j'étais un pauvre clon? Oui oui, un pauvre clon...

c'est de l'ABUS DE POUVOIR !!!!!!!!!!!

Moi aussi je peux faire ça regarde

mouahahahah regarde deux messages plus haut

LOL! Bon bon bon, toutes mes excuses pour cette petit blague... Néanmoins, comme c'est le cas pour la présentation de St-Aignan, je vous prierais gentiment, mes très chères amis (en passant, je le pense vraiment... ), de bien vouloir épargner cette présentation qui est mienne...

Ok... ok... si tu veux que j'efface

Enfin, je l'effacerais... un peu plus tard
le temps que tout le monde ai vu, et je m'en vais

hem hem. Vous n'en ratez jamais une. Pas possible. Donc ca fait encore un méchant de plus. La vache maintenant ca va etre mouvementé le forum. Avant y'avé mes ptits déboires avec les mousquetaires. Maintenant y a tous ces petits pions qui viennet rajouter à tout ca. Petit pion parce qu'ils ne représentent qu'une piqure de moustique face à ce que j'entreprends. Enfin c'est bien le Roy sera tellement occupé qu'il me laissera en paix...

Re le bienvenu monsieur le Cardinal. Et les floodeurs dehors...

On va dire que l'antifloodeur n'est pas tres efficace...

Cabellion a écrit:

Petit pion parce qu'ils ne représentent qu'une piqure de moustique face à ce que j'entreprends.

Les hommes de peu de foi seront balayés du revers de la main lors du jugement dernier, mon fils.