Petite visite de la ville.

Eva arpentait les rues de Paris, à la recherche d'action. Aujourd'hui avait été plutôt calme pour la Taverne du Masque Rouge, ou elle était depuis peu, employée. Elle n'avait pas eu d'autres nouvelles du mouvement de rébellion de la CL, et elle espérait attraper quelques bribes de conversations dans les rues, qui lui permettraient d'avoir un peu plus de nouvelles sur le sujet. Si un quelconque soulèvement devait avoir lieu, Eva voulait être de l'action.
Elle portait une des tenue que la Taverne lui avait fournie, c'est à dire une robe écarlate qui contrastait avec sa chevelure ébène, cette fois, lisse. La robe possédait un décolleté assez plongeant, mais cela était pour satisfaire les clients. Il faut dire que, la jeune fille était assez habituée des tenues provocantes.
Eva aperçue une jeune femme qui semblait avoir son âge, ou légèrement plus vieille. La jeune femme n'étant déjà pas grande, son allure faisait quand même jeune. Elle s'approcha de la demoiselle, qui observait chaque détail du décors les entourant. Eva se demanda si elle n'était pas perdue. Elle n'avait jamais eu l'âme samaritaine et généreuse, mais au pire, cette jeune dame pourrait peut-être devenir cliente de la Taverne. L'établissement en offrait pour tous les goûts. Elle s'approcha donc.

"Alors, vous êtes perdue?"

( HS: La CL (Compagnie de la Libération)est un mouvement organisé par notre révolutionnaire en chef, Mr Cabellion )

La jeune dame détailla rapidement Eva du regard, et évalua sa tenue d'un oeil plutôt interrogateur. C'est vrai que toutes les femmes étaient loin de porter ce genre de robe. L'employée du Masque rouge aperçu son interlocutrice regarder sa propre tenue rapidement. Sans doute ne savait-elle pas qu'Eva était loin d'être riche, et qu'elle était certainement moins pure qu'elle.
Elle reprit d'un ton aimable et doux. On aurait dit que la paysanne n'avait aucune ombre de méfiance envers l'inconnue qui se trouvait devant elle, chose qu'Eva, qui avait toujours vécue sans faire complètement confiance aux gens, trouva étrange.
La jeune femme lui rendit son salut et continua, sur un ton plus calme.

"Si jamais vous désirez voir quelque chose en particulier, faite moi signe..."

Elle se tut, oubliant qu'elle ne s'était pas présentée. Elle le fit, mais de façon très simple.

"Éva"

Eva retint le prénom: Heidi...cela sonnait bien, et la jeune femme trouvait que cela faisait un peu différent de tout ce qu'elle avait pu entendre jusqu'à présent. Elle aimait bien la sonorité du mot, et il lui semblait que c'était un prénom délicat qui convenait très bien à cette douce jeune personne .
La courtisane allait continuer à marcher vers la taverne, étant donné que la paysanne ne semblait avoir aucune question à lui poser. Seulement cette-dernière l'arrêta d'une toute petite voix. Eva se retourna et la divésagea, de son oeil noir perçant.

"Un emploi? Quel genre d'emploi recherchez-vous..."

Eva la détailla rapidement du regard, non pas pour regarder son apparence qu'elle avait déjà observée, mais pour évaluer ses atouts. Elle hésitait à lui parler de la Taverne ou elle-même travaillait depuis peu. Il lui semblait que Heidi était loin d'être le genre de personne à travailler dans ce genre de milieu. Elle qui apparaissait comme un être si pure ne pouvait se mêler à toutes celles qui vendaient leurs charmes pour assouvir les désirs mutiples de la clientèle d'hommes. Eva décida tout de même d'être franche.

"Je travaille dans une taverne, mais je doute que cela ne vous convienne."

Cela était loin d'être méchant. Aux yeux d'Eva, ce n'était pas forcément une fierté de s'avouer courtisane, mais elle n'avait connu que cela dans sa vie, et avait toujours du se débrouiller pour survivre.

Eva sourit devant l'ignorance de Heidi à propos des tavernes. En fait, elle ne pouvait affirmer qu'elle était ignorante, car il faut dire qu'elle avait une partie de la réponse. La courtisane songea que la jeune femme qui se tenait devant elle devait sans doute venir d'un petit village, loin de ce qui pouvait ressembler au Paris dans lequel elle se promenait.
Eva émi un léger rire, aucunement moqueur.

"Et bien, vous tenez une partie de la réponse, mais ce n'est pas tout a fait ça...enfin, pas la Taverne du Masque Rouge du moins..."

Il faisait un peu sombre dans cette petite rue qui serpentait difficilement entre petits commerces et habitations. Quelques gens louches se promenaient, mais Eva n'en n'avait pas peur, elle avait appris a ce défendre par elle-même, après toutes ces années vécues dans ce milieu. Elle prévint tout de même la jeune Heidi.

"Vous devriez faire attention de ne pont vous promenez seule dans ce genre d'endroit, on ne sait jamais sur qui on peut tomber."

(ca serait bien si tu pouvais élaborer tes posts, juste décrire un peu plus les pensées de ton perso, ce qu'elle ressent etc )

La courtisane regardait autour d'elles, tout en gardant un oeil sur Heidi. Celle-ci ne semblait pas très confortable à se retrouver dans cette partie de la ville. Eva fut tout de même contente de l'avoir trouvée, avant un quelconque malautru. Elle tenta tout de même de rassurer la jeune paysanne. En effet, en ville, ou qu'on soit, il y avait toujours un risque de tomber sur quelqu'un de pas net; il fallait que Heidi apprenne a ne pas se laisser faire.
Comme pour prouver ses pensées, un hommes passa trop proche d'Eva, et passa sa main dans le bas de son dos. Il ricana, un peu saoul, tandis que la jeune femme se retourna, et le dévisagea de haut en bas.

"Alors ma bêêêle, ca teuu dirais de v'nir avec moua?"

Eva s'approcha de lui, sous le regard de Heidi, qui visiblement, pensait que la jeune femme la laisserait pour partir avec cet homme. Eva se pencha et sussura quelque chose à l'oreille de l'impertinent. Un sourire se forma sur son visage ivre et fatigué, et sans crier garde, la courtisane lui donna un coup de genou bien placé.
Tandis qu'il se laissait tomber sur le sol en poussant plusieurs grognements, Eva se retourna vers Heidi avec un sourire narquois aux lèvres, et lui dit.

"Vous voyez mademoiselle, il faut pouvoir se défendre...ne vous inquiétez pas, avec un peu de ruse, vous pouvez en faire ce que vous voulez."

Et elle désigna l'homme de la main.

Elrohir sortit de l'auberge où il venait d'avoir une discussion avec Besméatix et Chateaubriand. Il regarda dans la rue, regarda le peuple qui vivait sa vie sans histoire. Du coin de l'oeil, il observa une femme d'allure timide avec un homme qui semblait vouloir s'en prendre à elle. Il y avait une femme devant elle, mais Elrohir ne savait pas ce qu'elle faisait, n'aidant pas son amie. Elrohir décida d'aller s'Assurer qu'il n'y avait rien de grave.

Il avança d'un pas déterminé. Il portait son uniforme noir des mousquetaires. Il se plaça près du groupe et il s'éclaircit la voix:

- Bonjour, est-ce que tout va comme vous voulez?

Elrohir ne devait pas provoquer le peuple. Il savait que les mousquetaires étaient au service du peuple avant tout, cela bien des gens semblaient l'oublier. Il remarqua que l'homme était saoul, ce qui voulait dire qu'un rien pouvait l'allumer, mais que ses réflexes devaient être lourdement ralentie. Il posa sa main sur l'épaule de l'homme fermement en disant:

- Monsieur, il est clair que cette femme ne veut pas de vous. Que diriez-vous de la laisser vivre sans vie?

Elrohir gardait tout de même attention. Peut-etre que les réflexes de l'homme étaient encore efficace. Il anticipa trois scénario: Soit que l'homme obéirait, soit qu'il s'en prendrait à lui, où soit il s'en prendrait à la femme. Dans les trois cas, il était prêt à agir

Eva s'était rapprochée de Heidi, tandis qu'un homme s'approcha des deux jeunes femmes. La courtisane pensa première qu'il pouvait s'agir d'un ami de la pauvre victime que venait de faire la jeune dame. Elle le dévisagea, un air de défit dans les yeux. Eva avait toujours été comme ca, jamais se laissant faire par qui que ce soit. Cependant, elle se rendit compte, de par l'habillement de l'homme, qu'il s'agissait en fait d'un mousquetaire. La courtisane eut soudain peur qu'il ne l'ait vu mettre l'impertinent à terre, et qu'il viendrait la réprimander.
Pourtant, il leur demanda, d'un air assez concerné si tout a llait bien. Eva croisa le regard de Heidi pour s'assurer qu'en effet, elle aussi allait bien, puis répondit donc du tac au tac, comme pour s'expliquer et se justifier du fait que l'ivrogne soit à terre.

"Tout va bien messire, je n'ai fait que me défendre contre ce malautru..."

Le mousquetaire s'adressa à l'homme, sans pour autant que Heidi ou Eva n'entendent très distinctement ses paroles. L'ivrogne tenta d'abord de se débattre et lâcha quelques grossièretés. Eva se sentait coupable d'avoir du offir un tel spectacle à la paysanne, qui sans doute, était loin d'espérer de vivre ce gemre de choses en ville.

[Désolé de 1) pour le post court, mais j'savais pas du tout quoi mettre a ce moment là lol, et 2) pour les jours d'abcenses: J'étais a disney ! mdr ! j'abandonne pas le forum ]

Heidi avait regardée la scène avec beaucoup d'étonnement, elle ne bougeait pas, elle avait les yeux grands ouverts. Elle avait très rarement vus de spectacles comme celui-ci.
Elle fut donc très rassurée en voyant un homme arriver pour les aider.

Une fois l'agitation passée, elle avala fortement sa salive, regarda Eva, puis l'homme, sans savoir quoi répondre.

Elle admirait l'acte de la courtisanne, jamais elle n'auraiy pu se défendre comme ça. Si elle avait étée seule, qu'aurait-elle fait ? Avait-elle bien fait de venir seule vivre ici ? Elle douttait tout d'un coup d'elle.

Elrohir ricana un peu et dit:

- Bien, gentes dames, vous devez avoir de la poigne et beaucoup de courage pour vous en prendre ainsi à un homme saoul, qui peut être imprévisible. Laissez moi m'introduire, je suis Elrohir de Verchères, un humble mousquetaire au service du peuple

Il aida l'homme à se relever. Il lui dit:

- Si j'étais vous, je me sauverais en courant, Dieu seul sait ce que ces dames peuvent vous faire encore.

L'homme regarda le mousquetaire, comme pour lui implorer de l'aide. Mais voyons, depuis quand un mousquetaire se retournerait contre le peuple. Et puis d'ailleurs, depuis quand Elrohir se retournerait contre les femmes. Elrohir sortit son épée et donna un coup dans les fesses de l'ivrogne qui, prit de peur, s'enfuit en courant.

Elrohir regaina son épée en ricana un peu. Il regarda la dame qui ne lui avait pas parlé. Il la regarda dans les yeux. Elle semblait avoir si peur. Il lui dit:

- Ne craignez rien mademoiselle, vous êtes maintenant en sécurité. L'homme est parti, et puis vous semblez avoir deux anges gardiens avec vous

(t'inquiète pas Heidi, aucun problème pour le retard, j'espère que tu t'es très bien amusée à Disney!!! )

Eva regardait toujours Heidi avec un air soucieux. La jeune paysanne semblait tout de même déboussolée par l'incident qui s'était produit. Mais la jeune femme se félicita encore une fois de ne pas qu'être simplement passée, et de s'être arrêté lui parler. Elle se retourna vers le mousquetaires, qui envoya promener l'ivrogne avec une pointe d'humour dans ses paroles, ce qui ramena un sourire franc sur le visage d'Eva.

Citation :

Bien, gentes dames, vous devez avoir de la poigne et beaucoup de courage pour vous en prendre ainsi à un homme saoul, qui peut être imprévisible. Laissez moi m'introduire, je suis Elrohir de Verchères, un humble mousquetaire au service du peuple

Elle lui fit une petite courbette maladroite de politesse, bien qu'elle n'ait jamais vraiment su ce qu'était l'étiquette.

"Et bien messire, sachez qu'il ne faut jamais sous estimer une femme du peuple. Elles sont pleines de surprises et on ne peut pas toujours prévoir leurs actes...je me prénomme Eva."

Elrohir lui rendit son salue de même et afficha un regard concerné devant Heidi, toujours en retrait. La courtisane se retourna également vers elle. Un ange gardien disait de Verchères? Eva en fut flattée, elle n'avait jamais supporté qu'on ne la sous-estime, ce qui arrivait souvent de par sa condition de femme et sa taille pas très haute. Elle se tenait à côté du mousquetaire et était nettement plus petite que lui. Drôle de paire d'ange, se surpris à penser Eva.

- Enchanté Eva.

Elrohir se pencha un peu pour bien voir le visage de la femme. Il fut gêné de l'avoir mis mal à l'aise, du moins, c'Est ce qu'il croyait. Il se retourna vers Eva pour lui demander:

- Est-ce qu'elle parle? Français, Anglais, Espagnol?

Elrohir rit un peu et, sans attendre la réponse d'Eva, il se retourna vers la jeune femme intimidé et il lui dit:

- N'ayez plus peur, vous êtes en sécurité. Prenez ma main, et je saurais vous conduire en lieu sûr. Prenez-la fermement pour ne pas vous perdre

Elrohir lui tendit sa main, pour tenter de la sécuriser. Elle semblait si pétrifiée, Elrohir voulait l'aider à vaincre sa peur et tout simplement, la mettre en sécurité

Le mousquetaire s'approcha de Heidi, sous l'oeil de la courtisane qui veillait toujours sur la jeune paysanne. Celle-ci envoya un dernier regard à l'ivrogne qui s'éloignait, maintenant en chantant quelques airs douteux. Eva qui était habituée à de tels comportements, étant donné son lieu de travail, n'y prêta aucune attention, mais comprenait que quelqu'un qui n'était pas habitué pouvait trouver cela étrange, à la limite de l'effrayant.

Citation :

Est-ce qu'elle parle? Français, Anglais, Espagnol?

Eva murmura, toujours observant Heidi.

"Ne vous inquiétez pas, elle n'est pas muette, elle parle français...elle se prénomme Heidi."

La jeune paysanne confirma par un sourire, Eva se demandait bien comme Heidi réagirait maintenant.

Elrohir saisit la main de la femme et tentant de la rassurer:

- Heidi, Où devons-nous aller? c'est vous qui décidez. Qu'est-ce qu'un endroit sûr pour vous?

Elrohir se retourna vers Eva et il lui dit:

- Vous êtes la bienvenue avec nous, il en va de soit.

Elrohir regardait autour d'eux. Il était vrai que c'était un quartier sombre de Paris, les mousquetaires étaient mal accueilli. La tension était palpable. Elrohir dit rapidement:

- Heidi, sans vouloir vous bousculer, il faudrait penser à y aller assez... rapidement. Voyez-vous, j'ai été tellement surpris de savoir une femme aussi... jeune et tendre que vous ici, que j'ai du franchir une frontière pour venir vous chercher. Alors, que pensez-vous de partir d'ici rapidement pour aller.... au chateau? Vous devez avoir faim toutes les deux?

Elrohir portait son attention aux hommes non loin d'eux. sa seconde main était maintenant sur la garde de son épée et ses yeux analysait la situation

Eva regarda Heidi prendre la main du mousquetaire, qui la rassurait visiblement. La courtisane pensa que la paysanne semblait avoir réussi a fiare confiance à de Verchères. Celui-ci semblait aussi trouver que l'endroit n'était pas vraiment sécuritaire, et entraîna les demoiselles un peu plus loin. Eva remarqua que le mousquetaire avait posé sa main sur son épée, prêt à agir dans n'importe quelle circonstance. Elle pensa que son chemin devait s'arrêter là. Elle avait été au bon endroit et au bon moment, pour aider Heidi. Elle la laisserait aux bons soins du mousquetaire. En effet, elle ne pouvait se permettre d'aller trop loin de son lieu de travail, bien que cela ne l'enchantait pas vraiment. De plus, lorsque le mousquetaire mentionna le château, elle tressaillit, elle qui était pour la révolution, mieux valait se tenir loin de Fontainebleau pour l'instant. Elle sourit et fit une révérence exagérée a ses deux interlocuteurs.

"Vous m'en voyez navrée monsieur, mais je pense que le palais est loin d'être mon lieu de prédilection. Je m'en vais retourner là ou je suis plus utile, au plaisir de vous revoir."

Elle se retourna, et marcha dans la direction opposée, pour retourner dans les quartiers plus malfamés, qui était, il fallait l'avouer, son milieu de toujours.

Elrohir s'inclina légerement en signe de bonsoir à Eva. Il regarda ensuite Heidi qui semblait moins rassurée.... Elrohir comprenait parfaitement. Il lui dit:

- Bien, allons au chateau, hatons-nous, si vous n'y voyez pas d'inconvénients. Restez derrière moi. Si quelqu'un vous touche, criez le plus fort que vous pouvez, vous lui ferez peur, et moi je saurai que vous êtes en danger. Ne lachez jamais mon bras

Elrohir se plaça devant la femme et commença à avancer vers le groupe d'hommes qui étaient dans la rue. Il n'y avait pas vraiment de quoi avoir peur pour lui, mais maintenant Elrohir tenait quelqu'un d'Autre avec lui. Une personne fragile qui ne devait pas abandonner. Il lui dit pour la rassurer et porter l'Attention de la femme ailleurs que sur ces hommes:

- Dites moi, dame Heidi, que souhaiterez-vous manger au chateau? Vous savez, vous n'aurez qu'à demander et puis vous l'aurez. Il y a tellement de chose possible, moi-même je pense ne jamais avoir réussi à tous les savoir. Bon, il faut dire que j'ai commencé il y a quelques temps, mais ca n'explique rien, j'ai une très bonne mémoire, mais elle semble faillir pour les plats du royaume...

Elrohir semblait qu'il parlait pour rien dire, mais tant qu'il parlait, l'Attention de la femme serait porté sur lui, et non sur les brigands, du moins, il l'espérait

Elrohir s'avançait d'un pas rapide dans les sombres rues de la ville. Un homme vint le pousser, mais Elrohir, ne voulant pas attirer l'attention sur eux, ne fit qu'empecher la situation de dégénérer.

Après quelques minutes, Elrohir et Heidi se rendirent en sécurité, près de l'entrée de la cour du chateau. Elrohir était content de voir Heidi toujours en bonne santé, mais surtout de voir qu'elle lui avait fait confiance:

- Nous voila arrivé, Fontainebleu. Je pense qu'il ne sera pas trop tard pour dire aux cuisiniers de vous préparer un repas. Après toutes ces mésaventures, quoi de mieux que de se faire servir.

Elrohir remarqua que la femme se regardait, probablement pour se demander si elle avait l'accoutrement ou même l'étoffe pour y entrer. Elrohir lui dit sans qu'elle ne pose de question:

- N'ayez crainte, je resterais avec vous. Et puis d'ailleurs, vous avez l'allure d'une princesse. Qui pourrait s'y tromper

Elrohir lui fit un gentil clin d'oeil et un sourire.