À son réveil, Livia comprit rapidement que le froid de Janvier était beaucoup trop mordant pour elle. Ainsi, la jeune femme décida d’explorer un peu le château. En fait, elle désirait surtout trouver la bibliothèque. Un château comme celui-ci devait en posséder une et Livia espérait qu’elle soit digne de ce nom !
Livia mangea et s’habilla avec l’aide de servantes d’une belle robe française a paniers faite de satin délicatement teinté de rose. Le corset affinait sa taille et faisait rebondir légèrement sa poitrine, mais il lui imposait aussi un maintien très noble et exigeait la faculté de pouvoir respiré son trop respirer... Aux manches trois quarts qui s’évasaient au niveau du coude On ajoutait des touches de dentelles maintenu avec des épingles. En fin de compte, la robe était moins extravagante que ce que l’on pouvait voir chez d’autres femmes, mais elle lui allait très bien. Quand on voulu la coiffer, Livia du presque se battre pour qu’on ne fasse pas de ses cheveux un truc tout à fait ridicule. On fini par les nouer simplement en chignon en laissant s’échapper ici et la quelques boucles parfaites. Néanmoins, elle du se soumettre au maquillage blanc les servantes prétextant qu’en tant que jeune fille à la cour et, surtout, jeune fille a marié, elle devait montrer un visage exempt de toute imperfection. De plus, le blanc devait signifier sa virginité… Elles insistèrent fortement sur se mot faisant rougir la jeune fille.
Une fois libérée de ce tourbillon infernale, la jeune duchesse pu enfin aller explorer le château à sa guise. Elle marcha un moment dans les couloirs, s’arrêtant parfois ici et là sur des détails ou des tableaux qui l’impressionnaient. De temps à autre, elle regardait par les grandes fenêtres le jardin endormis par les mois d’hiver. Malgré tout, il était fort joli et la jeune femme avait hâte au printemps pour le voir en fleur.
Au bout de longues minutes passé à fureté un peu partout, souriant poliment à chaque personne qu’elle pouvait croiser, elle fini par la trouver, la bibliothèque. Dès qu’elle eu franchit la porte, Livia en eu le souffle coupé. Il y avait des livres, tellement de livres ! Dans sa demeure, il y avait bien des livres, mais pas autant. La jeune femme s’avança parmi les rayons, caressant les couvertures de cuir épais, humant se parfum si particulier des bouquins, une odeur particulière ou le cuir se mélangeait à l’encre et au papier. La duchesse en prit un au hasard et elle le posa sur une table avant de l’ouvrir. C’était une reproduction d’un œuvre antique écrite en latin avec une traduction en français. Elle s’installa sur une chaise et commença à lire.