Moment de détente

Jean pénétrait dans l'auberge. Toutes ses affaires étaient en ordre. Il allait enfin pouvoir se reposer un peu.
De loin, il avait aperçut le chevalier d'Herblay en grande conversation avec cet homme, qu'il avait entraperçu lorsqu'il y avait eu cette histoire, avec cette femme retenue prisonnière.
Jean s'installa à une table, seul.
Il commanda un pot de ce bordeaux rouge, qu'il avait fait livrer lui-même à l'auberge.
Ne pas penser, l'esprit enfin au calme, regarder, observer, écouter et se détendre. Tel était la raison de sa présence en ce lieu.
Il n'y avait pas eu de nouvelles pour son homme de confiance, son ami, Mo, attaqué en pleine rue et obligé de tuer 3 hommes, en légitime défense.
Oui, tout était en ordre. Même ses affaires marchaient plutôt bien et presque toutes seules.
Il se demanda ce qu'il allait bien pouvoir faire dans les semaines à venir. Se dit qu'il trouverait bien.
Le vin servi par Manette était à bonne température. Son parfum fort et son goût épais. Un vrai nectar, pensa-t-il.
Quand il releva la tête de son verre, les deux hommes étaient sortis, Jean ne les avais pas vu, plongé dans ses pensées.
Trop de choses mystérieuse se passaient en ce moment à Paris.
A commencer par la disparition de Charlot.
Le soleil brillait à nouveau dehors, après une averse plutôt sévère.

Roland entra dans l'auberge s'attendant à tout... Mais c'était un lieu plutôt calme (enfin à la première impression).

Il s'avança calmement jusqu'au comptoir et s'enquit auprès de l'aubergiste des nouvelles récentes de Paris. Mais celui-ci ne le connaissant pas, resta vague et distant. Et Roland n'en appris pas grand chose...

Il se posa donc à une table. Il n'avait rien à faire et ne conaissait personne. Il avait donc le temps de flâner. Et il resta un moment assit à la table en compagnie d'un brau de vin de Bourgogne rouge et d'une chope qu'il remplissait de temps- en- temps. Il buvait... Pour penser à autre chose que l'autre soir où il avait finalement passer le cap avec Louise.(Qu'il n'avait d'ailleurs pas revu, ce qui le mettait mal à l'aise).

Angélique arriva en trombe dans l'auberge, elle venait de terminer sa ballade dans ce froid glacial à travers champs et forêts et devait régler deux trois choses avec le maître de ces lieux.
Elle avait un peu honte de son apparence, elle n'avait pris le temps de se changer et était resté avec ses habits à la garconne, elle prit soin tout de même d'oter son chapeeau en arrivant vers le comptoir.
Elle ne vit peu de monde aujourd'hui, tout comme chez elle, les gens semblaient frileux quand vient l'hiver.
Le serveur, un costaud moustachu, la reconnu de suite, ce qui lui évita une présentation longue et barbante en explication. Elle s'approcha du bar et il lui tendit la main en lui faisant un baise main des plus familiers, ce qui eu pour retour de la faire sourire, elle ne s'attendait à ce que les hommes d'ici lui fasse aussi bon accueil, en général les femmes qui tenaient un hotel particulier étaient plutôt mal vus !

Je vais chercher Monsieur de suite, prenez place je vous prie

En plus du bon accueil, il paraissait à Angélique qu'il maniait mieux la langue française que certains auteurs !
Elle alla donc s'assoir comme il lui avait dit. elle s'installa sur un fauteuil en face d'un autre vide, avec au centre une petite table de bois. Elle défit le gros tricot informe qu'elle portée ce qui laissa entrevoir une chemise blanche et large auquel quelques boutons en haut manquaient à l'appel, elle était un peu décoiffés à cause du chapeau qu'elle portait et les bottes qu'elle portait au dessus de son pantalon étaient un peu crasseuses, un vrai cavalier pensa t-elle amusée ! Elle attendit le maître des lieux pendant qu'un autre serveur lui posa un verre de vin rouge devant elle.

En attendant Cornac le maître de ces lieux, elle entreprit de détailler les intérieurs. Son regard se posa sur les hommes présents, il y en avait trois et étaient assis chacun à une table seuls avec un pichet de vin rouge ( boisson forte à la mode pensa t-elle ! )
Elle trempa ses lèvres dans son brevage tout en les détaillant un peu plus, quand elle surprit le regard d'un des hommes sur elle, elle détourna le visage rapidement un peu génée par l'image qu'elle renvoyée, mais se reprit bien vite, elle ne portait guère importance à ce que l'on pouvait penser d'elle. Et comme pour se renforcer à cette idée, elle étendit les jambes devant elle et posa les mains sur son ventre, un geste familier digne de bons hommes grossiers qui ferait rougir les plus nobles dames. Elle s'amusa de son geste théâtral qui ferait vite comprendre à ces hommes qu'elle était une femme libre de faire ce qu'elle veut aux yeux de tous !

Angélique ne s'apercut pas, en premier lieu, que le geste du jeune homme lui était adressé, mais quand il éternisa son regard sur elle, elle le compris bien vite.
En voici un qui osait lui se défier à la guerrière brune ! Elle avait pris l'habitude que les hommes étaient plutôt méfiant de sa beauté et son intelligence qu'elle savait allié avec ravir pour leur rappeler à tous, à qui ils avaient à faire ! Car elle ne supportait les préjugés que les hommes avaient à son encontre, d'accord elle était plutôt jolie mais elle cachait d'autres choses bien plus intéressantes . D'ailleurs les hommes d'ici l'avaient bien compris ! Et parlaient sur elle ! quelle bande d'imposteurs pensa t-elle ! ils ne comprennent qu'une femme puisse user de sla beauté physique et morale, elle, elle en était l'investigatrice et les hommes l'a redouté de peur de n'apparaître dans ses prochains récits !
MAis passons sur ses pensées, elle regarda le jeune homme en question lui sourit puis tourna son visage afin de porter son attention sur autre chose, pas comme un signe de supériorités mais elle voulait lui montrer à qui il s'adressait , elle voulait ainsi poser une barrière et quiconque la franchirai, pourrai obtenir entrevue avec cette femme réputée et aux répliques acerbes ! pour sûr, elle en décourageai plus d'un avec cette manière !mais elle s'y tenait car elle ne voulait s'adresser à un faible d'esprit qui la comparerai à la vieille Ginette du coin !

François n'était pas de ces hommes railleurs et mesquins ,il était intelligent et clairvoyant ,cette jeune femme ,il l'avait compris depuis le début ne s'adressait pas aux inconnus ,pas aux roturiers,et détestait qu'on la défie.Ce n'était donc aps ce qu'il faisait quoiqu'il avait bien envie de la faire tourner en bourrique la jeune damoiselle.Il se leva pour aller chercher un autre verre et en passant s'inclina devant elle tout en otant son couvre chef et en lui faisant un sourire un peu moqueur et faussement respectueux.Puis il continua son chemin en direction du comptoir.
Puis en revenant il pencha sa tete du coté ou elle se tenait et lui dit.

-Madame acceptez les salutations d'un humble voyageur roturier qui ose vous scruter alors qu'il n'en a aucun droit.

Elle vit le jeune homme s'avancer près du comptoir, et en passant près d'elle, s'arréta puis ota son couvre chef servit par un sourire un peu moqueur. Angélique ne comprit pas tout de suite pourquoi il s'amuser avec elle mais cela n'entama en rien sa bonne humeur et lui répondit du même sourire.
Puis il revint à elle penchant la têete de côté comme un enfant demanderai une sucrerie à ses parents, ce qui eu don de l'amuser

Monsieur, si c'est moi qui décidait si l'on peut me regarder ou pas, croyez le aucun homme ne croiserai mon regard !
Et j'accepte bien volontiers vos salutations, roturier, duc ou roi, ça je n'en ai que faire ! des salutations restent des salutations !

Elle lui sourit avec détermination pour lui montrer qu'elle n'était femme à se laisser faire, ni à se faire dicter ses faits et gestes ( elle se protégait derrière ses airs de féministe érudit ainsi elle était moins bléssé par l'homme que d'autres car aucun n'osait lui tenir tête, rôle qu'elle savait jouer à toutes épreuves ! ) .

Il la regarda d'un air toujours aussi narquois.

-He bien madame vous avez une jolie tete mais vous etes farouche.Je saurais vous apaiser point vous charmer ,n'étant pas de ces personnes qui courtisent les jeunes femmes .Et déterminée en plus à ce que je vois ,vous etes un spécimen rare,votre style me plait fort.Mais j'oublie de me présenter et ainsi manque aux convenances ,je suis François Cavaillac et suis étranger ici .Je n'ai qu'une connaissance ici c'est la baronne de Frenolec.

son regard ne changea pas quand il lui répondit, mais elle, était déterminée à lui tenir tête !

avoir une jolie tête et être farouche, le meilleur moyen pour éloigner les rapaces ici ! elle sourit moqueusement aux yeux du jeune homme
je me disais bien ne vous avoir jamais rencontré monsieur, d'ailleur non plus cette baronne de frenolec, je n'entretiens guère de relation avec les gens de la cour !
Pour ma part je suis Angélique Clarisse d'Angennes, je ne vous énoncerai pas toute la liste de noms qui m'a été attribué à ma naissance car je crois qu'on en aurai pour la soirée ! Plus connue comme étant la fille du marquis de Rambouillet que pour mes talent d'écrivain, enfin ... ici on attache guère d'importance aux femmes "artistes" !

En voyant la jeune femme toujours aussi digne ,FRANçOIS lui sourit amicalement.

-Madame je ne pense pas hélas qu'avoir une jolie tete mais etre farouche vous aidera à repousser les rapaces,la preuve vous n'arrivez pas à me faire fuir.Vous avez donc une litanie de noms?Moi étant breton et non noble j'énonce simplement deux mots pour me présenter ,voilà qui est plus simple!Vous etes donc artiste?C'est intéressant.N'allez pas croire que nous autres du bas peuple n'aimons pas l'art .Nous l'apprécions sans avoir les moyens d'acquérir quelques tableaux ou romans.Mais mon amie la baronne quoi que noble aime l'art et ne considère pas les gens selon leurs titres comme d'autres perroquets emplumés de la cour.Je vais devoir me faire inviter si je veux pouvoir lui rendre une petite visite ,cela est bien embetant.Mais je dois vous ennuyer avec mes propos sans queue ni tete .Je sais bien que vous allez me répondre oui ,aimable comme vous etes.

mais je ne cherche pas à vous faire fuire puisque vous même m'aviez dit n'être là pour me charmer alors e ne voit aucune raison de vous éloigner.
Et ai je dit une seule fois que les non-nobles n'aimaient l'art ?.. au contraire je pense que ce sont chez eux que nous trouvons les plus belles âmes artistiques !

Elle entreprit de remonter ses manches, mais se ravisa aussitôt en y voyant incrustées les traces de sa dernière balade. Elle se cala un peu plus sur sa chaise mais toujours dans une attitude très non chalante à la limite du masculin

Je vois que vous êtes perspicace !! je ne suis femme qui parle de pluie et de beau temps, mais au lieu de rester planter là, venez donc vous asseoir et commandez nous un bon verre de rouge, le meilleur de tout Paris !

-Madame tout bons principes m'interdirait de siéger à vos côtés mais comme c'est vous qui en faites la demande je ne puis m'y soustraire.Et maintenant que vous savez que je ne vous veux aucun mal ,prenez donc une position qui sied à votre rang et pas cette attitude de rustre que je n'emploie jamais d'ailleurs.Quand à commander du vin,ne seriez vous aps en train de profiter de moi?Enfin qu'importe .Tavernier ,un bouteille de bon rouge !!!!!!!!!!!!!!

et bien, faites donc ! ne faites pas attendre une dame !

elle commenca à porter à ses lèvres le fond de rouge qu'on lui avait servi précédemment mais faillit s'étouffer avec en entendant les propos de son compagnon

Puisque vous parlez de mon rang, sachez que celui ci me permet de me comporter comme je le souhaite sans en être influencé des autres ! Et si mon attitude vous insupporte à ce point je ne vois pas ce qui vous retient puisque ce sont mes habitudes !

Elle se renforgnait à ce petit pic que lui avait lancé ce jeune homme, mais ne sourcilla pas d'un cil ! Quand elle vit qu'il commandait un rouge elle se calma intérieuremnt sans aucun signe qui ne démontrait son humeur ( comme elle en avait l'habitude )

A quoi servent les hommes, si ce n'est pour ce servir d'eux ?!.. ils sont bons amants une fois sur deux, sont plus passionnés par leurs montures et leurs épées que par leurs femmes, et si on a un peu de chance, il vont font la cour digne des plus mauvais poètes ! Alors on a droit nous les femmes à profiter un peu de vous

Elle rit de sa petite boutade ce qui eu don de la détendre un peu ( bien qu'elle n'était pas tendu du tout ! elle était même plutôt très calme, fidèle à elle même )

Alerandro s'avanca dans l'auberge, il commencait à pleuvoir et ses appartements se situaient de l'autre côté de la ville, il décida donc d'attendre ici que le temps se calme.
Il commanda un verre de vin italien, comme à ses habitudes et regarda furtivement la salle, quand il apercut un visage qui lui était familier.
Elle n'avait pas changé ! Elle avait toujours cette image de garçonnet à l'allure mais ses courbes féminines la trahissait. Ses cheveux en bataille lui donnaient un air sauvage, et sa chemise d'écuyer était légèrement ouverte, juste pour entrevoir la naissance de son décolleté où tout homme aimerai s'y perdre ! d'ailleurs il en gardait un bon souvenir ...
Il décida de lui parler même si elle ne le portait pas dans son coeur, tout du moins, elle ne le porte plus. Il vit qu'un jeune homme un peu Androgine l'accompagné, ce qui eu don de l'étonner, elle était plutôt femme indépendante et volage, ses préférences si elles n'avaient pas changés se portaient sur les hommes plus mûrs en général .

Il s'avanca donc près du couple assis à une table avec un sourire énigmatique, qu'il savait s'en servir pour charmer les femmes
il fit d'abord un signe au jeune homme puis se tourna vers ce corps de déesse

Angélique !... il lui fit un baise main dont la durée s'éternisée volontairement come vai ?
ho appreso che lavoravi con ta madre ...

il eut un oeil malicieux et voulut en venir au fait bien qu'il savait qu'il s'adressait à une jeune lionne, il savait comment se somporter pour la mettre hors d'elle, comme il l'aimait

sei sempre così bella !... il passa un doigt sur son visage salit ma che fai con questo giovane uomo ?

Angélique absorbé par sa conversation ne remarqua pas de suite la présence de l'homme à leur côté, elle tourna enfin le visage pour voir qui approchait, et à la vue de l'homme se raidit de suite le visage sévère.
Elle ne s'attendait pas à le voir lui ici surtout comme elle était à ce moment même
Quand il énonca son prénom, il lui parut revenir quelques années en arrières lors de son voyage en italie ... Mais elle voulait passer à autre chose maintenant, et voilà qu'il refaisait surface ! Et contre toutes attentes il lui prit la main dans un long baiser, qui eu don de la mettre hors d'elle

vado meglio bene come puoi vederlo !

che faccio lo interessa ora ?!

Il lui passa maintenant un doigt sur le visage, elle recula instinctivement, le fusillant du regard, mais il fallait qu'elle garde son salme car elle savait qu'il se jouait d'elle, elle reprit son sérieux et se tourna vers ce monsieur cavaillac pour lui sourire, afin qu'il comprenne que tout allez bien

sappia che questo giovane uomo è molto più cortese di te !
d'ailleurs puisque que tu tiens à savoir de qui il s'agit, je te présente François Cavaillac, François voici Alerandro del Riggiati

[Les amis, une petite traduc à côté de vos discours dans la langue de Boccace serait des plus appréciables! ^^ En ce qui me concerne, je transcrit, mais je pense à ceux qui n'ont fait aucune langue latine... Merci!]

François leva un oeil étonné vers l'étranger ,l'italien à la belle mine et au parler raffiné.

-Mes salutations messire
dit il en serrant la main à la manière du peuple l'italien

-Je n'ai point le plaisir de parler votre langue mais j'ai fait quelques versions latines , la langue de vos ancetres .François cavaillac voyageur et peu érudit ,juste ce qu'il faut.Alerandro del Rigiatti votre nom me dit quelque chose.Ha ,j'y suis dans une des elttres de mademoiselle la baronne on me parlait d'un gentilhomme italien étrange mais charmant qui portait votre nom.C'est étrange Louise n'a pas pour habitude de cotoyer des hommes de votre age.Enfin bon.Je ne connais mademoiselle la charmante mais ô combien féline angélique que depuis quelques minutes.

Gonzague était fatigué mais content d’être arrivé à Paris, le jeune homme avait chevauché depuis 10 jours, ainsi il rêvait d’un bain chaud, d’un bon repas et surtout une bouteille de vin de bourgogne.

Il arrêta son cheval devant l’auberge et appela le responsable de l’écurie, donna ses instructions pour qu’on s’occupe bien de son destrier puis il rentrât avec sa selle et son sac de voyage dans l’établissement, Gonzague se dirigea directement devant le comptoir.

Gonzague fit tomber bruyamment son sac sur le sol et posa sa selle avec délicatesse sur le comptoir

- Aubergiste !! Aubergiste !! Je suis un voyageur fatigué, je désire une chambre, un bain chaud et bien sur ta meilleur bouteille de vin.

Le jeune noble attendit avec impatience qu’on vienne s’occuper de lui et regarda avec amusement les autres clients de l'établissement.

[ hS : oui désolée !! on n'a pas pu s'empêcher !! mais ce n'est rien d'important comme tu as pu le remarquer evangéline !! ]

Elle se tourna rapidement vers Alerandro, que venait il faire ici ? Se reverraient ils encore longtemps où n'était il comme à son habitude, que de passage ? elle espérait qu'il ne s'atarderai, d'ailleurs le maître des lieux allait bientôt arriver ...

che sei venuto a fare qui ?

elle lui dit d'un ton sec et n'attendit aucune réponse, elle ne voulait le savoir, il saurait trop facilement la blesser, afin de cacher son trouble,elle se tourna vers monsieur cavaillac

cela ne m'étonne pas que beaucoup de femmes le connaissent !!

elle se voulut d'un ton sarcastique afin de le piquer dans son orgueil comme lui l'avait fait dans le passé
Elle rit puis tourna le visage sans attendre sa réaction vers l'homme qui venait d'entrer et qui semblait impatient... Elle devra attendre qu'on le satisfasse avant de s'occuper de son cas à elle !

Il fut en premier temps étonné que le jeune homme lui serre la main à " l'italienne " mais en fut vite désinteréssé, angélique était une nouvelle fois accompagnée mais celui ci semblait fort jeune mais assez plaisant à l'oeil ( d'une femme !! ^^ )
il prit sa main chaleureusement

moi de même monsieur ..
Mademoiselle la baronne ?... il parut réfléchir, oui ! louise de frenolec ! une jolie jeune demoiselle fort sympathique ...
vous avez l'âme voyageuse ?! un peu comme moi ! je voyage entre Paris / Fontainebleau et San Remo !

Il se tourna vers angélique en entendant son petit pic qui eu don de l'amuser, il adorer provoquer son courroux !

Oui, pour être féline, elle l'est !... une vraie tigresse
sei ancora più bello quando tu ti irritato !!

Puis il se tourna vers ce françois afin de mettre u nterme à sa petite visite !
Il baissa prompteusement la tête comme à la "française" !

Monsieur, ravi de vous avoir rencontré, vous passerez le bonjour à cette jolie baronne si vous le voulez bien

il fit face à Angélique pour qu'aucune oreille n'entendent sinon les leurs, et fit découvrir un visage sérieu plein de tendresse comme rarement, il prit sa main et la mit à quelques centimètres de ses lèvres afin qu'elle sente son souffle chaud et complice

lo hai molto mancato qui ... spero che ci rivederemo

il tourna alors les talons et se dirigea vers la sortie afin de regagner ses appartements , cette journée lui avait apporté son lot de bonnes surprises , même très bonnes !!..