Promenons-nous dans les bois...^^

Ayant besoin de calme, Camille vint se promener dans les bois avec sa chienne, celle ci courait quand une exiter, alors que Camille se promenait et marchait tranquillement.Le carosse de madame n'etait pas loin, bien sur.Un autre carosse se mit derriere le premier.De ce carosse descendi une jeune fille d'appeine 10ans, un jeune garcon de 10ans aussi en descendit.Les deux enfant couraient et criaient le nom de Camille:

"Melanie et Jeremy: Camille, Caaamiiiiilleeeeeeee! "

Dans le grand silence des bois, Camille se retourna en entendant l'appel des deux jeune enfants.

"Camille: Melanie?Jeremy?Je suis ici! "

Les deux enfants entendirent la voix de leur cousine Camille, ils courerent, arriver pres de camille, celle ci se baissa et ouvrit ses bras pour acceuillir les deux enfant, ceux la, sauta au cou de leur cousine, tout content de la voir, les enfant rigolèrent.
Camille se releva et donna a la main aux deux enfants.Les trois se mirent a marcher dans les bois, mais soudaint, Camille sursauta en entendant du bruit arriver vers eux.


(Celui qui voudra me repondre XD)

-hum, hum.

Gaspard se raclait la gorge, essayant d'attirer l'attention de Camille qui pour l'instant lui tournait le dos, embrassant deux jeunes enfants.

L'intendant se retint de rouspéter, remarquant que ses bas était humide des gouttelettes d'une pluie récentes, restées sur les brins des herbes.

La jeune fille se retourna finalement, et Gaspard, quoiqu'il pensa intérieurement, fit un grand et beau sourire, un sourire accueillant.

-Seriez vous perdu, mademoiselle? Savez vous, nous sommes dans le bois!

Oui, et d'ailleurs les gens feraient bien de ne plus le faire déplacer dans des endroits pareil... vraiment, c'était bien un lieu insolite pour aller chercher les nouveaux venus!

Camille reprit son soufle, cet homme l'avait fait peur.Les enfants se colerent a leur cousine, celle ci posa ses mains dans le dos des enfants et repondit:

"Camille: Non, je ne suis pas perdu! Je ne fesait que de me promener!"

Elle regarda un peu partout, cette fois ci c'etait pas elle qui etait perdu mais c'etait Salandre, sa chienne.Camille ne porta pas grande importance maintenant, mais peu etre plus tard oui.Camille regarda le ciel puit regarda l'homme.

"Camille: A qui ai-je l'honneur?"

Gaspard sursauta un peu lorsque Camille fit un brusque volte-face sous le coup de la surprise.
Reprenant ses esprit, il réussit tout de même à répondre sans bafouiller, avec une profonde révérence.

-Gaspard Duchêsne, intendant du château. Pardonnez moi si je vous ai importuné, je croyais devoir vous apporter de l'aide...

"Camille: Et bien, enchanter tres cher, je me nomme Camille d'Aniere.Et vous ne m'importunez point.En revanche, il va pleuvoir, rien qu'en regardant le ciel, nous devrions nos rendre au chateau."

Rose regardait le ciel d'un air fataliste. C'est sûr, il allait pleuvoir. Elle sourit en pensant à son manteau qu'elle avait laissé au château, voyant que la soleil était apparu ...Hélas pour si peu de temps !

*Eh bien tampis, avec ou sans soleil, il faudra bien que je rentre.*

Elle prit un air désinvolte bien qu'elle se soucia de sa belle robe de velour bleu qui aurait bientôt déteint. Contre mauvaise fortune bon coeur ... Des voix l'arrêtèrent soudain. Y-aurait-il quelque autre personne dans ces bois? Sans doute plusieurs ...Elle se dirigea vers elles et découvrit les jeunes gens qui discutaient.
La comtesse salua.

"Bonjour ...Je suis Rose Homblière d'Askellya. Sauriez-vous quel chemin prendre pour Fontainebleau ? Je me promène rarement de ce côté-ci et ai bien peur de m'être perdue."

Rose sourit après ces quelques paroles, espèrant ne pas déranger.

En effet, Gaspard leva le nez et ouvrit les oreilles : quelques gouttes chutait lourdement sur le feuillage et faisait balancer les plus hautes et plus légères branches sous leur poids. Déjà, certaines perçaient la voûte protectrice naturelle et vinrent s'éclater sur le front de l'intendant, qui baissa aussitôt la tête en s'ébrouant.
Il ruminait et maudit la pluie en s'essuyant le visage avec sa manche, visage à présent protégé de son éternel couvre-chef.

Une autre demoiselle vint les rejoindre à cette instant, le bas de sa robe déjà alourdi et détrempé. Elle devait faire un effort pour soulever le tissus à chaque pas et ,elle, elle avoua qu'elle était perdu.

Gaspard en aurait été presque heureux sans ce sale temps. Il s'inclina vite fait et se présenta, avant de dire avec précipitation:

-Nous devrions rentré, je vous indique le chemin...

Et aussitôt, dit, aussitôt fait : Gaspard les précéda, oubliant le protocole, car il fallait faire vite. Si en plus l'orage les surprenait alors qu'ils se trouvaient sous des arbres, ce serait le comble.