Batifolage dans les bois ?!?

Armand De Léon, fier descendant de la noble famille De Léon, dont la force et l'honneur sont prouvé depuis déjà des générations, se déplacait furtivement dans les bois à quatre patte, à la recherche de... "gibier". On lui avait dit que de nombreuses dames se promenait seul dans les bois, une aubaine... D'ailleur si il éctouait aussi attentivement, ce n'était pas pour entendre le chant magnifique des oiseaux, ni même la voie du seingeur, mais bien quelque gloussement ou poésie...

*Attention, le tombeur de ces dames par à la chasse...*

Iwelda sortit dans les jardins en toussetant, enfin un peu d'air! Sa chambre était étouffante, les couloirs étaient étouffants!
Comme si quelqu'un avait eu la drôle d'idée de faire allumer des feu de foyer dans toute les chambres pour faire sortir les gens dehors!

Elle fit quelques pas dans la fraicheur du soir enfin! Elle pensa une seconde à sa belle Irlande quand un drôle de spectacle s'éveilla devant elle. Le fameux vicomte à quatre pattes, entrain de siffler comme pour appeler quelque chose.

- Vous êtes souffrant?

Armand qui se croyait si discret, et surtout si malin, se retourna comme si il était frappé par la foudre. Son coeur s'arreta de battre une seconde, et il tomba par terre, pas de bien haut donc.

"AAAaaAAAAAAAaaaAAAAaaa !
Mais ! C'est vous ! Vous êtes venu me rejoindre seule dans les bois, je vous retrouve donc enfin... Mais laissez un peu de temps pour me remmettre de cette surprise... Vous vouliez me tuer ou quoi ?"

-Idée tentante mais qui me vaudrait bien des problèmes vous en conviendrez?

Elle lui tendit une main pour l'aider à se relever.

-Et non je ne suis pas venue vous rejoindre, certainement pas sachant que je vous trouverez dans une situation si peu...confortable? L'herbe est bonne au moins?, dit-elle avec un sourire.

De Leon prit la main d'Iwelda, mais contre toute attende, la tira vers lui, la fesant tomber (pas méchamment).

"Vener donc la gouter vous même, douce et confortable... Un endroit idéal pour... Hummm ! N'êtes vous pas d'accord avec moi ? Inutile de jouer les timies, nous somes vraiment seul maintenant..."

Il se rapprocha d'elle avec le regard follement attirant et effrayant d'un fauve... Celui du serpent qui hypnotise la grenouille...

"Vient près de moi, il y fait chaud et doux..."

Tout d'abord effrayée iwelda se ressaisit vite et comprit comment il fallait agir avec cet espèce de serpent.
Elle prit un regard voluptueux et pressa son petit corps contre lui, une main sur son torse.

-Oh oui milord, prenez-moi!

Puis elle pouffa de rire en se reculant et se releva doucement. Passant une main sur sa robe.

- Vous pensiez vraiment que j'allais vous tomber dans les bras? Quelle folie!

Bien.. Très bien même, il n'aimait pas les histoires faciles ! Il avati connu trop de catin, de trainé et de femmes facile qui d'un regard tombé dans ses bras ébloui par sa beauté et sa richesse.

"Non, pas encore... Mais vous me désirerez, car une femme ne peut aller à l'econtre des sentiments qu'elle éprouve envers son sauveur à la beauté sauvage... Vous tomberez dans mes bras, et vous serez heureuse..."
Il se leva, félin et séducteur,
"mais au plaisir de vous laisser seul dans bois... je ne puis ceder, et je me doti de vous raccompagner... Allez, venez, c'est par la..."
Armand se reperait au étoile chose que lui avait apprit un ami marin de Bretagne... Qu'elle était loin et si proche cette terre aimé.

Elle le suivit en riant.

-Vous vous prenez réellement pour un Apollon mon cher? Mais continuez, vous m'amusez follement! Par contre vos bras ne m'intéresse pas, encore moins y tomber!

La Montespan se rendit donc directement dans les bois ou elle était sur de se retrouver seule; enfin s'était ce qu'elle pensait en arrivant a l'orée du bois, illuminée par le clair de lune.

Là elle vit une chose des plus amusantes et des plus caucasses, car qui vit ele en train de batifoler dans l'herbe, la petite protégée du roi et un noble tout deux habillés comme s'ils sortaient du bal, ce qui devait d'ailleurs être le cas.

Ceux ci ne l'avait encore vus, mais le faite de les voir dans une tel posture l'amusait déja. Avant qu'elle n'ai pu faire un pas l'homme se releva, et Athénais vit qu'il proposait de racompagner la jeune fille.

* Ah non, je ne laisserai pas une si belle occasion de m'amuser ce soir !*

" Et bien que vois-je a une heure pareil, dans cet endroit qui est je dois l'avouer, peu propice aux rencontres galantes. Un gentilhomme et notre jeune et jolie irlandaise."

" Je vois mademoiselle que vous vous débrouiller très bien seule face à ce galant, mais je dois vous conseiller d'aller dans vos appartements à présent, l'heure n'est plus aux enfantillages."

A ces mots La Montespan, regarda la surprise qui se lisait dans les yeux des deux toutereaux, et avec une grande satisfaction, elle repris sa promenade d'un pas calme et serein. Même si la beauté et le charme naturel du galant dont elle ne connaissait pas l'identité la troublait, malgré elle.

Iwelda écouta la jeune dame entre deux éclats de rire. Décidement cette France était d'un ridicule!
Elle se placa près de la dame et parla assez fort pour que le vicomte et elle entendent tout.

- Ah! Vous voyez monsieur le vicomte? Voilà une dame qui brule d'envie qu'un jeune pervers lui lève la jupe! Alors allez donc retrouvez ce nouvel amusement et laissez moi continuer ma marche en paix! Je vous en remerci!

Elle sourit à la dame qui la regardait d'un air offusqué de jeune vierge et elle se tourna, le regard pétillant.

La Montespan pensait pouvoir continuer sa promenade en toute tranquilité, mais une surprise l'attendait, la jeune Irlandaise semblait s'être offensée de la soudaine entrée d'Athénais.

Citation :

Ah! Vous voyez monsieur le vicomte? Voilà une dame qui brule d'envie qu'un jeune pervers lui lève la jupe! Alors allez donc retrouvez ce nouvel amusement et laissez moi continuer ma marche en paix! Je vous en remerci!

Comment avait-elle oser, cette petite étrangère parler ainsi d'une dame d'honneur de la reine, pourtant Athénais avait seulement voulu être gentille avec elle. Mais elle le regrèttait déja, apparement être gentille a la cour était impossible alors, elle sera audieuse puisque c'est tout ce que les autres attende d'elle.

Avec un faux air offusqué, Athénais regarda la jeune prude se retourner pensant en avoir fini avec La Montespan, elle se trompait lourdement.

" Oh mademoiselle, vous avez failli m'offusquer, vous vous adaptez bien au petit jeu de la cour a ce que je vois. Pour votre gouverne, même le roi n'arriverai pas a se glisser sous mes jupes, par contre je vois que vous avez fait vite pour vous attirez les faveurs d'un vicomte, alors retournez batifoler dans l'herbe avec celui ci comme vous aviez si bien commencer avant mon intéruption. Et puis après tout, peu m'importe si vous vous faites engrosser dés votre arrivée, le roi, je pense se fera un plaisir de renvoyer votre batard en Irlande. Mes salutations Mademoiselle."

Toujours hors d'elle, La Montespan jeta un regard noir a la jeune fille et s'en fut sans demander son reste, la soirée avait été bien trop chargée a son gout, et ses appartements lui ferait un bien fou, si elle arrivait là bas en un seul morceau. La colère ne lui allait décidement pas.

Antoine passait par la , plongeait dans pensées . Quand il vit une femme
en rage qui Passait par la . Antoine alertée par tant de manque de maitrise de sois demanda imédiatement se qui se passait:
-Et bien madame ,que se passe t'il ,une vilain vous aurais t'il véxait !
pui-je faire quelque chose pour vous ?
le colonel la regarda d'un air nerveux ,attendant une réponse rapide .

Iwelda éclata de rire, décidemment les femmes montaient vite sur leurs grands chevaux ici mais bon un peu de sérieux.
Elle tenta de calmer son rire, jeta un coup d'oeil au vicomte qui restait bouche bée, le salua et sortit du jardin pour retourner à l'intérieur.

Antoine s'apercevant qu'il était sans doute dans quelque
conflit verbal :-excusé moi ,j'ai du me trompé ...
Puis il parti rapidement .