régiment de normandie

L 'états major, sire antoine an téte se poserent dans le cabinet royal
attendant la venu de leur Monarque , tous le monde semblaient inquiert
et stressaient ,ils se demandaient si le chef avait bien fais de demander
audience,mais antoine les fixant d'un air rageur les dissuada de faire toute remarques désobligantes

Le Roy entra dans son cabinet par une porte dérobée. Il s'assit et envoya un suisse ouvrir la porte.
Le soleil entrait par l'une des grandes fenêtre et rendait l'atmosphere chaude... mais pas étouffante. Rassurante, plutot.
Lorsque le colonel entra Louis se leva pour le saluer. Un homme aussi important avait le droit au respect.
Apres qu'Antoine fut dans le cabinet, le suisse sortit et ferma la porte derriere lui. Leur entretient ne s'ébruiterait pas avant que le Roy n'ai décider s'il était trop important pour cela.

Apres une poignée de main tres protocolaire, le Roy s'en retourna derriere son bureau, s'assit, et invita Antoine a en faire de même, sur la chaise en face.
-Bien, colonel. Que puis-je pour vous ?

Antoine s'avança vers le bureau ,posa son tricorne sur une petite table .
Se tenant droit,parla lentement d'un ton grave.
-Je salut sa majestée,On me considére comme un homme franc alors j'irais droit au but . Mon Roy,j'ai passais le plus clair de mes derniere année a former une unitée capable de maitriser tout risque ,et cela quelque soi la cituation,et je pense que votre sécuritée majestée me
semble plus faible que jamais , sais vrais que j'ai peine a le reconnaitre
mais j'ai de grande inquiétude pour la sucuritée de sa majestée , les mousquetaire ne sont plus se qu'il étais ,j'en suis navré .
Antoine baissat la téte d'un air inquiét
-Mais les troupe que j'ai formée permétrons une plus grande sécurité a sa majestée , elle sont préte et attende les ordre .
Antoine regardat le roy en attente d'une reponse

Louis laissa parler le colonel, hochant la tête en signe d'accord quand au début du discours.
Mais des lors qu'il parla de sa sécurité, le Roy ouvrit grand les yeux, plus encore les oreilles. Cet homme était donc bien au courant des menaces du peuple, et il venait l'en avertir, mais surtout l'en protéger. Le Roy sentit un élan d'affection pour ce "sir Ours" national, qui avait tant montré de fois des exemples de courage et de stratégies militaires.
C'était donc un homme plus précieux qu'il ne l'imaginait... car en plus d'être un grand soldat, il était fidel a son Roy.

Quand Antoine d'Evreux eut finit son discours, Louis redevint sombre et réfléchit. La menace dont l'avait avertis D'Artagnan était donc bien plus réel qu'il ne l'avait imaginé. Ce n'était plus seulement en Paris, mais jusqu'a la Normandie que couvaient des émeutes.
Bien sûr que les troupes du colonel serait utile. S'il y avait coup d'Etat a faire, ce serait dans la capitale même.

Enfin, l'air grave, le monarque pris la parole :

-Il est vrai, les mousquetaires faiblissent par manque de nouvelles recrues, et vos hommes sont plus que bienvenue a Paris.

-Il faudra tout de même avoir un entretient avec mon capitaine des mousquetaire, Mr D'Artagnan. Afin que vos deux unités puissent évoluer dans une entente parfaite. Se compléter et non se concurencer.

Louis retomba dans ses réflexion un instant. Lui qui s'était sentit si protéger en son chateau revoyait le péril de la fronde...
Les intrigues de Fontainbleau a déjouer ne suffisaient donc pas ! Le Roy serait sans nul doute un Roy bien soucieux pendant les quelque mois a suivre...

-Revenez demain a mon cabinet. D'Artagnan sera présent.

Louis fixait le colonel a la stature imposante, le soleil faisait briller son armure et le rendait presque... géant... comme un imposant roi barbare d'antant.

Une illumination dans les yeux ,et un sourire se vis sur
le visage du colonel . Puis d'un air enjoué ,il répondit:
- merci majéstée , et a demain !
Aprés une réverrance ,il se retirat .