Le carosse frémissait sous la malfaçon de tous ces chemins de terres, qui menait de la province au palais du Roy à Paris. Le Duc de Montargis était agacé par la phrase que lui avait dit son père avant qu'il prenne le voyage, que voulait-il dire, il est vrai qu'il hériterais d'une certaine fortune qui doublerais si ce n'est plus la sienne, mais après tout, le voyage était bien entamé et il ne restait plus que quelques heures de trajet d'après le cocher. Mise à part quelques arrêts forcés par les forces qu'exercent Dieu sur l'Homme en lui donnant des besoins naturels, le cocher n'eu pas besoin de s'arrêter et le voyage filait bon train...
Jumilien prit un livre pour s'occuper l'esprit, 4 heures après il s'arrêtait enfin à Paris mais dans une petite auberge, Monsieur le Duc ne prît pas la peine de descendre et attendit que son cocher daigne bien reprendre les rênes, enfin il reprit le voyage et la carosse frémit a nouveau sous le hennissement des 6 chevaux qui le tirait, ce carosse était une des fierté de la famille, la blason y résidait sur le plafond, les portes et l'arrière remplit de pierres précieuses et d'or...
Enfin Jumilien sentit que les routes se faisait de plus en plus douce et il ne put s'empêcher de se pencher, il reconnut alors le palais royal et son magnifique portail. Ses bagages furent déchargés et Le Duc de Montargis put enfin descendre lorsque son valet déida enfin de venir lui ouvrir, il le remerçia et d'un léger coup de pied déclencha la descente du petit escalier qui lui permit de descendre enfin et de pouvoir s'installer, il devait être 13 heure. Ses bagages furent montés dans ses appartements, Jumilien attendait que l'on vienne l'acceuillir ou du moins de rencontrer quelqu'un il ne supportait pas que lui un des hommes les plus riches du Royaume ( Loin après le Roy et son frère: bien que le Roy ne soit pas si riche que ça du fait des dépenses avec Versailles c'est à revoir...) patiente devant le palais, il avait pourtant envoyer un billet stipulant son arrivée. Une légère brise se leva, très légère juste assez pour faire du bien à Jumilien qui cuisait sous cette atmosphère pesante, ses vêtements était neuf comme tout ses vêtements d'ailleurs, d'une couleur verte, il était en soie et en velours brodés de fil d'or et d'argent et incrustés d'emeraude, mais sa perruque n'aiamit point le vent, ou plutot le vent n'aimait point sa perruque car celle-ci ne cessait de laisser s'envoler quelques mèches ou du moins de les soulever ce qui avait le don d'agacer Jumilien qui patientant prenait son mal en patience. Enfin il entendit des bruits de pas, des talons claquaient au sol, il essaya de distinguer une silhouette mais le soleil l'aveuglait et il ne voyait rien, il attendit alors espérant que quelqu'un l'avait vu et ne put s'empêcher de glisser très légérement:
"Qui est-ce?"
Qui fut dit si légéremeent que même son oreille eu du mal à l'entendre. Un sourire se dessina sur ses lèvres lorsqu'il aperçut enfin la silhouette ombrageuse comme sortit des ténèbres avançait vers lui, il y avait bien quelqu'un il n'entendait pas de voix ni de pas et espèrait que cela ne lui arrive jamais.
[A vous la suite!]