Arrivée du Marquis de Condor.

Orianne se trouvait devant le chateau, un sourire aux lèvres, enfin elle allait pouvoir présenter l'un des époux a sa future fille ... La seconde pourrait attendre il fallait choisir quelqu'un de cette cour ...
Son neveu était toujours fidèle a lui même .
Orianne avait revetit ses plus beaux vêtements le luxe devait etre de mise, une robe rose pale virant au saumon avec des rose rouge dans les cheveux , ainsi que des ruban et broderie rouge sang , le tout etait parfait ...

Elle s'approcha de son neveu

-Vous voila enfin mon cher Neveu, j'espère que ce voyage n'a pas était des plus érintant ... Votre venue est des plus attendue ... Bien que je n'ai prévenue que peu de personne de votre venue ... Afin que nos projets ne sébruite qu'en temps voulu ...

Voyant sa tante arriver, Philippe, cet homme perfide et malsain souriait. Son sourire cachait bien des choses et non pas des pensées parmis les plus pures. De toute manière pouvait-on attendre une autre façon d'agir et de penser de sa part ? Non cet individu n'est tout simplement qu'un opportuniste.

La suite sera des plus prévisibles, le marquis va sans nul doute jouer la carte de la flatterie ainsi que celle de la courtoisie et jouer ce rôle qui lui était devenu naturel, tellement il en usait. C'est sans doute pour cela que peu de gens ne se doute de ce qui se cache derrière cet homme, pourtant des plus méprisables, qu'on ne vous conseillerait jamais assez de l'éviter et de ne pas l'approcher. Bien que pour la plupart des personnes il agit contre leurs volontés.

A quoi bon s'attarder là-dessus, et observons plutôt le rôle d'acteur de cet homme, quoi qu'il advienne vous ne pourrez dire qu'on ne vous avez pas prévenu de ce qui pouvait advenir, cela n'entre plus dans nos cordes.

Reprenons alors, le marquis voyant sa tante arriver laissa apparaitre un sourire, il s'avança vers elle avec une allure des plus élegantes, et clama.

"Ma chère tante."

Arrivé en face d'elle, il lui prit sa main, déposant un léger baiser sur celle-ci des plus courtois.

"Je suis heureux que vous soyez la première personne que je croise à mon arrivé, et je l'avoue très flatté."

Il lui lacha sa main, et sur un ton des plus élogieux il lui lança.

"Vous êtes très élégante. Mon voyage c'est très bien passé, et c'est toujours un plaisir de me rendre en France. D'autant plus qu'il me tardait de revoir ma famille, ces chères cousines dont l'une en particulier. A ce propos vous avez bien fait, d'annoncer ma venue à que peu de personnes, rien ne servait de laisser s'ébruiter nos projets."

Ne vous avions nous pas prévenu, il entre en scène et plus rien ne l'arrête pour mettre à bien les infames projets qui grandit dans sa tête, que ne ferait-il pas pour acquérir encore plus de pouvoir et d'influence.

Orianne souriait, bie n qu'elle aima ses filles, il lui fallait assuré la suite de l'héritage ... Elle eu un sourire au baise main puis s'evantant regarda son neveu ...

-Oui je concois votre impatience, Sybélia est devenue une vraie jeune femme prête a faire bonheur d'un époux, vous la trouverez surement a votre gouts,plus le temps passe plus elle devient digne de son rang.... Bien qu'elle refuse encore de se fardé comme le veux la mode ....Quand a sa soeur j'avoue qu'il est dure de les différencier....

Avancant vers les marches, elle observa chaque détail, le luxe de son neveu serait appréciait a Fontainebleau...

-Désirez vous prendre place a vos appartements ou que nous rejoignons directement votre promise qui ne sait encore qui elle aura l'honneur d'épouser ...

Cruel dilemme s’offrant alors à ce cher Philippe. Pour beaucoup de personnes cette question aurait été anodine, et la réponse aurait été donné sans plus tardé, mais pas pour cet être abjecte. Vous devez penser que son caractère est bien particulier, vous auriez raison et ce n’est peu dire.
En effet il fallait qu’il agisse avec prudence et ses moindres gestes devaient être calculés pour ne pas qu’on découvre ses réelles intentions.

Il avait hâte de retrouver sa promise et de voir si elle allait être vraiment à son goût, bien que ce ne fut pas sa priorité première. Mais n’ayant plus eu la chance de connaître son caractère, son comportement d’aujourd’hui pour percevoir la meilleure façon d’agir. Il ne voulait pas la brusquer au risque de tout faire échouer et ce n’était nullement le bon moment alors qu’il était si proche du but.

Cet homme incarnant à lui seul la fourberie, s’adressa à sa tante d’une voix se voulant légèrement hésitante.

“Comme vous devez le savoir, il me presse de revoir votre fille, et de voir qu’elle magnifique jeune femme elle est devenue. Mais je n’ai hélas, pas eu le temps de bien la connaître, et n’aimerait pas la heurter, l’offenser en arrivant de cette façon sans qu’elle est fut prévenu de ma visite et du sujet de celle-ci.”

Il s’arrêta quelques instants tournant son regard vers Orianne.

“Vous la connaissez mieux que moi, je vous demande encore de me rendre ce précieux service et de me donner un conseil avisé en m'indiquant la conduite à suivre. Il serait dommage que cette personne chère à nos deux cœurs ne se sente de trop piéger.”

Oui cet homme faisait partit des plus fourbes. Fourbe étant l’acte d’une personne qui trompe avec une adresse perfide. Nul besoin de vous dire qu’il se sentira dans son élément dans la cour, le regard d’Orianne ne s’y tromperait pas. Est-il pour autant nécessaire de le préciser ? Vous le verrez bien dansla suite des évenements, en observant ses agissements.

Orianne eu un sourire, elle même commencait a ne plus savoir quoi penser de ces filles, mais il ne fallait rien en dire, avec un sourire , elle pris la décision ...

-Peut etre devriez vous vous reposez... Nous irons ensuite au jardin, voir si mes filles s'y trouvent, a ce moment là nous indiquerons a une visite de courtoisie, pour ne pas les brusquer et que vous puissiez a votre gout les connaitre...

Orianne eu un sourire, quelle anodine visite pourrait inquièter ses filles ...

- Lorsque vous les connaitriez mieux, vous pourrez ainsi faire votre demande par pur convention du protocole... J'ai déjà fait préparé les papiers que vous n'aurez plus qua lire pour vérifier qu'il nemanque aucun détail....

Le Marquis de Condor inclina la tête en signe d'approbation. Il valait mieux que ça se déroule de cette manière, il risquait de moins y perdre qu'autrement. Car en effet notre cher marquis n'agit qu'en fonction des bénefices dont il peut tirer de ces actes. Vous le trouvez ignoble ? Vous n'avez pas tout à fait tord, mais ce comportement n'est-il lui même pas propre à la nature humaine ? Sûrement, mais ce marquis en a reçut et cultive tous ses vices.

"Vous avez raison, je vais de ce pas rejoindre mes appartements, puis ce sera avec une immense joie et un grand honneur que je rencontrerai vos filles."

Lorsqu'elle lui parla des papiers, il ne put que laisser chapper un sourire quelque peu narquois et perfide. Plus que de rencontrer sa promise, il avait hâte de les avoir en sa possession et de les avoir entre ses mains.
Il se contenta de dire sur un ton détâché.

"Bien, je vois que vous avez déjà tout prévu."

Orianne eu un sourire , désignant une jeune femme d'une vingtaine d'année...

-Une servante va vous y conduire

Puis regardant vers les jardins

-Je vais me promener en attend que vous soyez prêt, vous me trouverez prêt de la roseraie... J'espère que vos appartements vous plairont...

Elle inclina la tête puis s'en alla vers le jardin, la servante fesantune révérence attendant que le marquis la suive, celle ci semblait mal a l'aise, les rumeurs sur ce marquis avait précédé et elle esperait ne pas etre victime de cet odieux personnage ....

Le marquis fit un semblant de réverrance pour la saluer.

"Soit je vous y rejoindrai."

Il ne prit pas la peine de la regarder partir, et se tourna vers la servante et d'un signe de tête très appuyé, lui ordonna de lui indiquer ses appartements, elle s'exécuta alors. Philippe n'avait plus cette courtoisie et l'attitude qu'il avait à l'instant avec sa tante, étant de ces hommes nous ne vous le cacherons pas, se sentant au dessus des autres et qui ne porte d'intêret sur les autres personnes que si elles sont de la même classe sociale que lui.
Quoi que les "basses gens" pouvaient lui servir à d'autres fins.