promenade sous un beau soleil.

Chateaubriand etait en train de patrouiller les jardins de sa Majeste. La securite avait ete resserrer depuis les derniers incidents. Il s'ennuyait ferme. Les patrouilles ou rien ne se passait l'affligeait. Plusieurs courtisanes et courtisans passaient leur chemin, l'ignorant completement.

Son attention fut captive par un chapeau virevoltant dans les airs quelques instants au caprice du vent avant de se deposer a ses pieds. Il se pencha et le ramassa. Il vit alors celle auquel le chapeau appartenait sans aucun doute, etant la seule tete nue par un soleil si implacable. Il le lui tendit gracieusement.

"C'est a vous si je ne me trompe, Madame?"

Elle sourit, et prit son chapeau d'un geste gracieux en remerciant l'homme qui lui avait rendue.

"Merci beaucoup monsieur, j'ai bien cru ne jamais revoir, mon chapeau."

Tout en disans cela, elle remit son chapeau de fassons qu'il ne s'envole plus. Elle le détailla, un moment, derriere son éventail et lui sourit

"Voyez vous, c'est un chapeau qui mest tres précieux, il apartenait a ma mere."

Elle dit cela avec un leger ton dramatique comme pour dire que sa mere aller mal ou n'était plus de ce monde. Son regard se perdit un moment dans le cile et ses yeux se voilerent un moment puis elle secoua la tete comme pour chasser des idées noirs et dit avec le sourire

"Voyons, je ne me suis pas présenté. Mais peut-etre nous sommes nous déja rencontrer.Je suis Clémence, marquise de blois"

Elle lui tendis la main.

Chateaubriand s'inquieta lorqu'elle lui parla de son chapeau. Maladroit de nature, il avait surement, indirectement incite de tristes souvenirs. Il voulu s'en excuser, mais elle se presenta a ce moment-la.

Marius enleva son chapeau et s'inclina legerement, prenant sa main tendue et la baisant, tout respectueux des protocoles et de la bienseance.

"Enchantee de faire votre connaissance Marquise. Je m'appelle Marius Chateaubriand, Major des mousquetaires du Roy, pour vous servir. Je crains que nous n'avons en effet pas eu la chance de nous rencontrer auparavant. Nos chemins ne se sont encore jamais croises. Vous etes nouvelle ici?"

"Oh, non je vis a la cour depuis un moment déja mais il y a telement de monde en ce moment a la cour que ce n'est pas tres étrange que nous ne soyons pas rencontrer."

Tout en disant cela, elle se essaya de se recoiffer, car avec le petit vent ses cheveux ne tenaient plus dans son chinion ce qui lui donné un petit air insouciant. Elle continua

"Enfin, j'ai du quiter la cour un moment pour retourner dans ma province natal."

Elle n'en dit pas plus mais un legere tristesse se sentait au son de sa voix. Elle fit quelques pas et le bout de sa robe traina sur le sol. Elle avait ce jour là, une belle robe jaune feu et orange qui fesait resortir sa taille fine et sa belle silouette

Citation :

"Oh, non je vis a la cour depuis un moment déja mais il y a telement de monde en ce moment a la cour que ce n'est pas tres étrange que nous ne soyons pas rencontrer."

Marius hocha de la tete. C'etait surement parce qu'il venait tout nouvellement d'etre grade major et qu'auparavant, il n'avait aucune alliance ou connaissance des gens a la cour.

Il ne sut quoi dire a son air triste parlant de sa contree natale, aussi, il ne dit rien, et se contenta de lui offrir son bras pour faire quelques pas alors qu'elle essayait toujours de se recoiffer contre la brise vivace, malgre la chaleur.

Pour etre un peu plus au frais, il l'emmena pres de la fontaine au milieu du jardin ou le vent fit virevolter des gouttelettes eparses qui etaient issues des jets d'eau. Ces minuscules particules rafraichissaient tres bien, sans pour autant, les mouiller.

Ils y rencontrerent une autre personne, une autre courtisane pensa Chateaubriand, qui prenait l'air et profitaient des bienfaits du soleil.

Sylvie flanait toujours dans les somptueux jardins du roi qui degagaient beaucoup de senteur toutes meilleures les unes que les autres.

Comme elle s'avançait vers un couple sans les voirs elle continua son chemin.

Quand ellle arrivat en face d'eux elle fit un petit signe de tete puisqu'elle ne conaissait pas leurs rangs.

- Bonjour. Je suis Sylvie de L'Isle!

elle lui tend sa main fine denudée : elle n'avait pas enmené de gants a cause de la chaleur.

Chateaubriand laissa le soin a Madame la marquise de se presenter d'abord, et d'elle-meme puis se presenta a son tour, prenant la main de la charmante dame et la baisant delicatement.

"Marius Cahteaubriand, Major de la compagnie des mousquetaires du Roy. Enchantee de vous connaitre, Madame."

Il ne savait plus quoi dire, laissant les deux femmes aristocrates se devisager, puis engager la conversation. Il souriait et acquiesca quand on parla de la chaleur acablante, bien que moins terrible pres de la fontaine.

Clémence pencha legerement la tete de coté pour observer la vicomtesse, elle avait une robe assez pauvre mais chaqu'un avait ses petits probles. Elle lui sourit et l'écouta parlait, encore un de ses personnes qui n'arrivait pas à tenir sa langue.

"Vous disiez ?"

Elle etait perdu dans ses pensées et n'avait pas écouté la fin de ce que lui disait la vicontesse.

[ dsl je part 3 semaines, alors je ne pourrais plus répondre ! ]

(hj: on dit que tu viens de partir comme ça ce sera plus facile)

Chateaubriand regarda les deux femmes echanger quelques paroles avant que l'une d'entre elle ne les quitte, hele par une dame de compagnie qui sollicitait sa presence.

Decidement, tous les nobles ici avaient des horaires tres charges. Il ne comprenait pas ce qui pouvait les retenir comme cela, eux qui ne travaillaient jamais.

Il se concentra donc sur la douce brise humide qui le caressait et parla un peu avec la dame qui etait restee.