Nom, prénom: de Valentinois, Delphine Godiva
Âge: 18
Personnage incarné: Duchesse de Valentinois
Histoire:
Cousine du Roy, Delphine de Valentinois n’a pas eu la chance de fréquenter souvent son cousin durant son enfance puisque celui-ci était fort occupé par les affaires d’État étant le Roy. Garder dans la province de ses parents jusqu'à l’âge de ses 14 ans, elle y appris les règles de la bienséances avec sa nourrice et sa gouvernante. Elle reçut ensuite une très bonne éducation chez les Sœurs, ainsi que l’art de l’écriture, de la lecture, de la musique, du chant et de la peinture. Fin prête, c’est à ses 16 ans que ses parents l’envoyèrent a la cour y faire son entrée. Là, la vraie éducation commença. Bien qu’elle fut tout de suite cajolée, étant la cousine du Roy, elle apprit bien vite que personne n’entretenait de vrais relations amicales à la cour si cette personne n’y trouvait pas quelque chose à son avantage. Elle appris donc à ses propres pertes cuisantes qu’elle n’avait pas vraiment d’amies et s’en désola un moment. Avant de tourner la page et de continuer à jouer la comédie, en attendant de trouver quelqu’un avec qui elle pourrait se présenter telle qu’elle était.
Apparence physique:
Petite de taille, elle ne mesure que 1m52. Ses cheveux sont d’un brun fonce au soleil alors qu’ils apparaissent noir d’habitude. Ses yeux sont d’un brun pétillant selon son humeur, qu’elle, trouve plutôt sombre et fade puisqu’elle aurait préféré avoir les yeux verts comme sa mère.
Psychologie du personnage (caractère, défauts/qualités etc...):
Descendante de Diane de Valentinois, elle n’a pourtant pas hérité du caractère de son ancêtre. Gentille et attentionnée, elle ne ferait de mal à personne. Pourtant, son rang et son milieu demandent d’elle une toute façon d’agir pour garder sa place et son prestige. C’est donc pour cela, qu’elle porte son masque, montrant une jeune femme plus en accord avec la noblesse de la cour du Roy, tout en gardant sa dignité. Elle a donc appris à se servir de ses assets féminins aussi bien, sinon mieux que les autres femmes de la cour. Et, bien franchement, elle y trouve un malin plaisir par moments. Sa grande peur? Montrer sa vulnérabilité.