Dans la bilbiothèque

Le duc et Méliane entrèrent en même temps dans la bibliothèque et ce, chacun pour une raison bien précise : la faim pour le duc, et la rumeur pour Méliane

-C'est ici que j'ai entendu dire cela. Attendons, sans doute quelqu'un glissera-t-il un mot ou l'autre à quelqu'un d'autre. Enfin...si vous voulez toujours m'honnorer de votre présence et attendre avec moi?

Demanda-t-il en appuyant la question de son regard intense

Méliane regarda chaqune des personnes presentes puis se retourna vers le duc lorsque celui lui parla
Volontiers, c'est un plaisir de rester avec vous
Elle lui fit un sourire accompagné d'un regard brillant qui montrait exactement le plaisir qu'avait Meliane pour les rumeurs et surtout les rumeurs de ce type

-Parfait dans ce cas!

S'écria-t-il, et ils attendirent. Ils entendirent quelques informations par-ci, par -là mais pas grand'chose d'intéressant.
Le temps passait, et rien quand enfin un couple passant à côté d'eux, parlaient d'un certain Cabellion.
Quand ils entendirent ça, le duc se tourna vers Méliane et lui fit un clin d'oeil complice

-Eh bien, eh bien notre attente n'a pas été vaine. On a appris qui est à l'origine de tout cela.

Il sécoua sa tête lentement et l'air rêveur

-Aucune idée, mais je pense que si nous attendions encore, nous le saurons

Soudain, son ventre cria à manger. Le duc rougit jusqu'au blanc des yeux.

-Euh, ça sera non pas sire Cabelion qui fera la revolte, mais mon estomac!

Le duc voulut plaisanter sur la situation

Méliane le regarda amusée.
Oui et je crois qu'il faudrait mieux pour vous que vous alliez manger ca pourrait empirer

Chanteloup s’adressa à la jeune Baronne :

« Que voilà une bonne idée que de m’emmener en ce lieux de savoir, et quel plaisir de voir que personne ne soit présent pour l’heure, nous pourrons donc parler à l’aise, sans déranger grand monde
Je vous propose de parler d’abord de Silvio : je pense que je pourrai parfaire son éducation, et en faire un gentilhomme ; n’ayez crainte pour ce qui concerne l’argent, j’ai quelques Louis qui pourront lui servir plus tard. Connaissez-Vous son âge ? Il me semble avoir déjà près de treize/quatorze ans. Je vous propose, comme je lui en ai soufflé un mot, de commencer son éducation en nous basant sur la Bible, et sur les Ecritures Saintes. Je vais déjà demander au bibliothécaire s’il possède une petite bible. »

Jean-Jean appela le préposé, et lui demanda s’il possédait une bible, une petite bible, qui soit maniable par un illettré. L’homme acquiésca. Il lui serait donc possible de commencer dès le lendemain des cours d’écriture et de lecture. S’agissant d’une petite Bible pour enfant, Jean-Jean obtint de l’emmener, en attendant que son abbé lui en envoie une neuve.

D’autre part, Jean-Jean décida d’utiliser un livre qui ne le quittait jamais : « La Légende Dorée » écrite par Jacques de Voragine, et contant la vie des Saints. Cela mettrait un peu de vie dans l’étude.

Louise trouva l’idée assez bonne. Mais où auraient lieu ces cours ? Chanteloup considéra qu’il ne fallait pas déranger la jeune Baronne, et proposa que Silvio l’accompagne à la Bibliothèque, à défaut d’avoir une petite pièce appropriée pour recevoir les cours.

Jean-Jean continua :

« Sachez, Baronne, si Silvio suit correctement ses cours, et si nous parvenons à en faire un gentilhomme, notre Abbé sera certainement content de contribuer à élever Silvio dans la société. Et je m’engage à en faire autant.

D’autre part, je vais profiter de notre présence, pour voir si je peux trouver un livre, ou plusieurs, décrivant le Château, sa construction et qui sait, peut-être, trouverai-je les plans d’Architecte. Plutôt que de les chercher, je vais demander au bibliothécaire de me les apporter. » .

« Parlons également de vous Baronne, je voudrais vous aider, présentez-moi les personnes de la Cour que vous connaissez, et j’essaierai d’en tirer le meilleur parti pour vous, et pour moi.
De cette manière, et si je n’étais clerc, nous aurions l’impression de former une petite famille à trois ; mais il me faudrait encore trouver une épouse, chose peu recommandable pour un clerc… »

Chanteloup essaya de faire comprendre à la jeune Baronne qu’il leur fallait travailler ensemble afin de « conquérir » la Cour et ses courtisans.

Louise écouta sagement tous les propos du juste Chanteloup.Elle acquiesca à ses paroles mais lui rappela ceci

-Silvio sait lire et écrire cela je lui ai appris il est vrai cependant qu'il ne maitrise aps aprfaitement l'écriture ,reste pour lui à apprendre le reste ,vos idées sont très bonnes et vous etes une bonne ame pour mon Silvio ,il a 13 ans présentamment ,je voudrais plus tard pouvoir le considérer comme mon frère car il est vraiment adorable mais cela ne serait aps bien vu.Je suis heureuse que vous ayez à coeur l'éducation de Silvio.

Elle pensa au merveilleux jeune homme que ferait ce bambino italien et aux coeurs qu'il ferait tomber par la suite.Elle réfléchit à la question de Chanteloup


-Il y a marie adelaide d'artois et la duchesse d'agenois mais cela est déjà acquis reste monsieur un peut trop haut et quelques autres

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les appartements de Jean-Jean Chanteloup